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groupe pour ceux qui parle francais et qui son pervers :)

Crax - The Great Pinups by Vilma Costa

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VILMA COSTA - composed by Dinosaugus CraxOne of the most famous retro fotografers in the scene.location: * Lisboa, Portugalurl: * www.facebook.com/VilmaCostaPhotographycreative Fields:* Art Direction* Digital Photography* Photography"Beauty is in everyone and everywhere, you just have to look deeper" Photography has always been a passion in life but it was in 2004 that it turne...
VILMA COSTA - composed by Dinosaugus CraxOne of the most famous retro fotografers in the scene.location: * Lisboa, Portugalurl: * www.facebook.com/VilmaCostaPhotographycreative Fields:* Art Direction* Digital Photography* Photography"Beauty is in everyone and everywhere, you just have to look deeper" Photography has always been a passion in life but it was in 2004 that it turned more serious when she became a model. Later in 2008 she decided to see the world through the other side of the lens and became a photographer. Creative by nature and art driven she loves sharing experiences and meet new and interesting people. Always ready for a challenge embracing every project with heart and soul. There is a special affection for photographic sets that tell a story and make us wonder about ourselves and the world. Produces all of her Photoshoots, except when she is invited to do something specific. Chooses the Light Scheme, Styling , Make-Up and Hair Styling Also does the Casting and the Team Management. contact: * vilmacostaphoto(at)gmail.com2009:* Course of Design & Print in Creative Station (CS4: Advanced Photoshop (Camara Raw), Illustrator, Indesign) Partners:Magazines- Magn�tica- RuaMag- CheckSOUND 2010:* Workshop on Hair Styling for Fashion Photography * Workshop on Fashion Production & Styling (LSD School) * Workshop on Photoshop Techniques for Fashion and Beauty by Natalia Taffarel (Argentina) * Advanced Photography Course * Workshop of BJD Dolls Modeling & Digital Ilustration brands:* Montra Antiga* Veronique Boutique* Maria Karin* Optica do Sacramento* Geraldine Lisboa* Felipa Berga�a* Vinde.0 Vintage & Vinhos* Am�lie au Th��tre* Black Nornscompanies:* Difference* SevenMuses* (re)Store * Schmetterling Companhia de Dan�a A�rea artists:* Lucky Duckies* Cit�nia* Last Milestonewebsites (english):* http://www.behance.net/vilmacostaphoto* http://blog.sina.com.cn/s/blog_6612ddce0100u9s4.html* http://houhouhaha.fr/vilma-costa_________________________________Sex verpackt im Retro-Style.Ich glaube �zauberhaft� ist hier wirklich das passende Wort,. Weil ihre Aufnahmen wirklich extrem sch�n sind, versteht es die Portugiesin Vilma Costa doch echt gut, klassischen Pin-Up-Motiven einen gewissen modernen Touch zu geben. Allerdings beschr�nkt sie sich darauf nicht auschliesslich, obwohl diese Bilder einen ziemlich gro�en Teil in ihrer Sammlung einnehmen. Hier findet ihr eine recht umfangreiche Sammlung der Pinup-Fotografien der K�nstlerin neben einigen anderen interessanten Aufnahmen aus ihren Ateliers. Unten (im portugiesischen Teil) findet ihr den Link zu ihrem portugiesischsprachigen Blog. Und auch auf facebook und twitter ist sie zu finden.Webseiten (deutsch):* http://clockworker.de/cw/2011/09/07/vilma-costa-vintage-pin-up/* http://www.mindsdelight.de/2011/09/zauberhafte-vintage-pin-up-fotografien-von-vilma-costa/_________________________________On dirait que la mode est au vintage, pin-up et ann�es 50. Ce qui n�est pas pour me d�plaire car cette p�riode fut haute en couleurs, inventions, mode vestimentaire et graphisme publicitaire. Vilma Costa est une photographe portugaise, cr�ative de nature et aimant tout ce qui se rapproche � l�art. Elle a fait de la photo son vrai m�tier en 2008 apr�s avoir commenc�e en tant que mod�le en 2004. Plongeons dans les ann�es 50 avec elle.pages (fran�ais):* http://www.graphicdesign-news.com/vilma-costa/_________________________________Sin embargo, en sus trabajos se observa su talento y el amor que tiene hacia la profesi�n.Procuro fazer trabalhos de fotografia de casamentos tem�ticos e diferentes.Fotografar hist�rias de amor bonitas, sorridentes e contagiantes.Podem ser fotos tem�ticas depois do casamento - chamado a Trash the Dress - onde os noivos aproveitam novamente as suas roupas de cerimonia e criamos algo novo e bonito e revivemos o dia e a historia de amor que os uniu.Para este servi�o tenho uma equipa completa com cabeleireira e make-up artist que me acompanham.p�ginas (portugu�s):* http://www.facebook.com/VilmaCostaPhotography* http://wearepicta.com/vilma-costa-port* http://thebeauty-and-thebest.blogspot.com/2011/07/summer-love-by-vilma-costa.html* http://geraldine-lisboa.com/?p=1153_________________________________...

Eastern Dreams

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MasterofEpsi
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@random
03 Feb 2015 10:40AM
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csml
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@random
05 May 2014 2:07PM
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Un texte parmi ceux publiés sur : http://cafeaphrodite.blogspot.fr/

16 heures pile ; Élodie entra dans le vieil immeuble, le cœur serré. Il ne fallait pas qu’elle se rate ; ces saletés d’intraveineuses lui portaient peine, et justement ce nouveau patient en attendait une. Elle en tremblait presque ; elle finissait ses études d’infirmière et, à presque 21 ans, espérait décrocher son diplôme.

Depuis trois jours, elle était en stage dans un centre de soins, son dernier stage, primordial, de fin d’études. Les jours précédents s’étaient mal passés ; elle avait travaillé en doublon dans le centre avec une vieille infirmière hargneuse, elle était trop anxieuse, l’ambiance était mauvaise, en plus. Alors elle rentrait chez elle et pleurait sur l’épaule de son mari. Éric n’avait pas de travail ; il déprimait car il ne trouvait rien (serveur en restaurant), sauf de petits boulots au noir ; et il devait consoler sa jeune femme quand elle craquait.

Étant stagiaire, elle n’avait pas le droit de pratiquer seule, pas encore. L’infirmière qu’elle devait seconder s’était blessée ce matin, et sa responsable – une pète-sec qui l’avait dans le collimateur depuis son arrivée – lui avait dit de faire la visite seule et de ne pas faire de vagues. C’était la première fois qu’elle sortait du centre et travaillait seule, alors c’était l’angoisse.

Pas facile, quand on est en stage de probation, de rester calme, polie, de réussir tous les actes médicaux prescrits. Elle tremblait un peu en sonnant à la porte, sa sacoche à la main. Un homme a ouvert, l’air revêche. Elle a reculé en le voyant : un visage patibulaire sur un corps imposant qui emplissait tout le cadre de la porte.

— Bonjour, je suis l’infirmière, je viens pour la première injection.

— Ouais ! Putain, ils envoient des gamines maintenant ! Enfin, entre, petite.

— Merci, Monsieur.

L’appartement sentait le renfermé alors qu’on était fin mai et qu’il faisait un temps superbe. Il l’a conduite dans un séjour miteux, encombré de linge sale, d’assiettes, verres, cartons à pizza, cannettes et bouteilles de bière. Un taudis, ou pas loin. Il s’est assis en soupirant dans un vieux fauteuil, le seul à n’être pas encombré. Elodie a fait un peu de place sur la table pour préparer la seringue puis s’est tournée vers lui. Il avait autour de 50 ans sûrement, sale, négligé ; il portait un marcel blanc à trous d’une propreté douteuse sur un bermuda à fleurs, d’où dépassaient ses membres épais et couverts d’une épaisse forêt de poils noirs. Un gorille.

Fébrilement, elle a désinfecté, posé un garrot en caoutchouc, et cherché une veine. Pas évident, même après avoir allumé le lustre. La fébrilité la gagnait ; il ne fallait pas qu’elle se loupe : la pète-sec n’attendait que ça pour la virer et soigner son rapport, ce qui serait désastreux pour l’obtention du diplôme. En désespoir de cause, elle examina le poignet et le dos de la main : trop velu ! Elle se résigna à piquer au pli du coude, et évidemment traversa la veine, provoquant un hématome. De plus en plus gros quand elle retira l’aiguille et enleva le garrot.

— Pardon, Monsieur, je l’ai ratée ; je vais la faire au bras droit.

— Et voilà, on envoie des gamines faire les piqûres, elles sont pas foutues de faire leur boulot ! Je vais appeler ton service et me plaindre.

— Je vous en prie, ne faites pas ça, ils vont me saquer. C’était pas facile à faire, avec tous ces poils…

— Dis que c’est ma faute, en plus ! Te gêne pas surtout ! Tu vas comprendre, je vais t’assaisonner !

Élodie pleurnichait, sa seringue à la main. La cata ! C’était un stage qui avait mal commencé, et maintenant…

— S’il vous plaît, laissez-moi vous faire la piqûre, je ferai attention, je vous promets.

— Moi, je vais faire des photos de mon bras et obtenir une incapacité de travail ; ensuite, je l’enverrai à ton patron.

En pleurnichant, elle a tant bien que mal réussi l’injection, puis a remballé son matériel, décomposée, prête à craquer. En plus, elle sentait que le regard de l’homme avait changé : il la reluquait d’un œil obscène. Quand elle s’est tournée vers lui pour lui dire au revoir, elle a vu que ses yeux quittaient ses fesses pour se fixer sur sa poitrine qui gonflait son chemisier blanc. Malgré tout, elle a tendu sa main, pour l’amadouer, en tentant un pauvre sourire. Il l’a saisie dans sa grande patte velue, les yeux rivés sur sa poitrine, ne paraissant pas vouloir la lâcher.

— Tu reviens demain à la même heure ; je veux que ce soit toi qui me suives à partir de maintenant. Et arrange-toi pour réussir tes piqûres. Mon dossier de plainte sera prêt à être envoyé, je te le montrerai. Après, je veux que tu fasses le ménage chez moi, sinon il part. Fous le camp.

Elle est partie en pleurant ; le quart d’heure de trajet en voiture jusque chez elle ne l’a pas calmée. Éric, son mari, l’a reçue dans ses bras où elle a sangloté de plus belle. D’une voix cassée, elle lui a raconté ses déboires et la proposition de son patient.

— Il veut que tu fasses son ménage ? C’est tout ? Ce n’est pas cher payé s’il abandonne son idée, tu sais. Je peux aller lui parler pour qu’il comprenne qu’on est déjà dans la panade. Il te paiera, en plus, si tu travailles chez lui.

— Tu verrais comment il est, Éric, il est sale, répugnant, et il est vieux !

— Ma chérie, calme-toi, il ne va pas te violer, quand même.

— C’est pas ça, mais il me regardait d’un œil si vicieux, j’ai eu honte. J’étais en jupe et chemisier, il me déshabillait du regard, le gros porc.

— Il a quel âge, cet homme ?

— Je ne sais pas, ce n’est pas sur mon dossier ici, mais 50 ans, à peu près…

— Ma chérie, toi qui m’as dit que tu fantasmais sur les vieux…

— Ce n’est pas le moment de plaisanter avec ça, tu sais !

— Tu as une petite culotte ? Montre ça…

— Non ! Fiche-moi la paix, bon sang ! Je suis complètement sur les rotules à cause de notre situation, et toi, tout ce que tu trouves à faire…

— Oui, en effet ! Tu as l’occasion de réaliser ton fantasme de faire l’amour avec un homme plus âgé, en même temps que tu l’empêches de te nuire, alors réfléchis un peu.

— Tu crois ce que tu dis ? C’est du chantage, et tu veux faire de moi une pute !

— C’est ce que je dis en effet, tes fantasmes de prostitution et de l’homme âgé, tu les as depuis longtemps, on en a parlé souvent. Et puis tu exagères, tu n’as pas à te prostituer, seulement à faire le ménage, en petite tenue sûrement.

— Je ne sais plus, tu crois qu’on est coincés ? J’ai complètement raté l’intraveineuse, je vais être virée.

— Non, chérie, on peut pas se le permettre… Tu es mouillée, dis donc !

— Arrête, Éric, c’est tes histoires. Je t’ai juré fidélité, on est mariés depuis un an. Et puis tu verrais ce type, il est répugnant, velu comme un singe… Oh ! Arrête !

Il avait soulevé la jupe et, les deux mains dans sa petite culotte, il pétrissait ses jolies fesses ; son corps réagissait, elle réalisait qu’elle mouillait abondamment. Dans la chambre, il lui enleva juste sa culotte à l’entrejambe poisseuse et la pénétra dès qu’il eut sorti sa verge de son pantalon baissé sur ses cuisses. Il était si excité qu’il s’est vidé très vite, trop vite, laissant Élodie sur sa faim. La nuit, elle eut du mal à trouver le sommeil, repensant à sa journée pourrie, à ce qu’avait dit son mari. C’était horrible : il acceptait qu’elle se donne à un inconnu ; en plus il était répugnant, cet homme.

Vieux, velu, sale. Tout du gros dégueulasse ! Elle avait glissé une main sous sa chemise de nuit, et posé la main sur son pubis, caressant les fins poils soyeux qui le recouvraient, constatant avec surprise qu’elle était toute mouillée. Elle pensa à cet homme ; il était énorme, un gorille, elle si menue, blondinette, à côté de lui, dans ses bras, sous lui qui la pénétrait… Elle secoua la tête. « Rêver de ça, faut que tu sois en manque, ma pauvre fille. »

Il faut dire que son mariage avec Éric n’avait pas tenu toutes ses promesses. Déjà elle s’était plus ou moins fâchée avec ses parents qui ne l’aimaient pas, Éric avait perdu son travail depuis trois mois et ne trouvait pas, mais Élodie avait bien vu qu’il avait refusé des postes ; il lui faisait l’amour moins souvent, fantasmant plus qu’il n’agissait.

Éric était plutôt fluet, pas très grand ni très gros, 1,69 m et 62 kg, brun aux yeux marrons, le corps lisse quasiment sans poil, un peu efféminé. Ce qui avait plu à Élodie, c’était sa douceur, son calme. Avant de se rendre compte que c’était en fait de la mollesse, un manque de caractère. Alors qu’elle avait été attirée, dans son adolescence, par les hommes mûrs et virils.

Élodie était une belle jeune femme blonde, élégante, d’une taille de 1,66 m pour 50 kg, fine et sportive, avec une jolie poitrine bien pleine qui attirait les regards masculins. Quand elle faisait son footing, presque tous les matins, en petit short et brassière assortie, les hommes la suivaient des yeux avec convoitise.

Et voilà où elle en était, frustrée, insatisfaite dans sa vie amoureuse, stressée et malmenée dans sa vie professionnelle. Comment allait-elle pouvoir se sortir de ce mauvais pas avec son patient ? La politique de l’autruche semblait la pire des solutions. Elle s’endormit enfin pour une courte nuit de sommeil.

Sa journée se passa comme dans le brouillard, elle était insensible aux piques des collègues comme aux remarques désobligeantes de la responsable. Juste avant de partir chez le patient, à 15 h 30, elle alla se rafraîchir le visage dans les toilettes, et s’examina dans le grand miroir sur la porte.

Ce matin, elle avait mis une petite jupe brun sombre de coupe droite qui laissait voir ses genoux, un chemisier crème, portés sur un tanga blanc à dentelle et un soutien-gorge assorti, et elle avait choisi des escarpins à talons hauts de 7 cm, à peine confortables mais d’une couleur crème assortie au chemisier.

C’est le visage empourpré qu’elle sonna à la porte, qui s’ouvrit immédiatement ; il devait l’avoir vue arriver.

— C’est bien, tu es à l’heure. Sinon j’aurais dû te punir. Entre.

— Bonjour, Monsieur. Pour le courrier, vous avez réfléchi ? Je vous en prie.

— J’ai même un certificat médical : mon médecin m’a affirmé que tu seras radiée de l’ordre des infirmières ; en tout cas, ta carrière sera finie avant de commencer.

— Ne faites pas ça, s’il vous plaît, je ferai tout ce que vous voudrez, je vous le promets…

— Tu as dit « tout » ? Tu m’intéresses, là. Et tu me fais la promesse ?

— Oui, je vous promets de faire tout ce que vous voulez. Je ne peux pas finir mes études comme ça, ce n’est pas possible !

— Et tu feras tout pendant combien de temps ?

— Euh… Ce soir ?

— Non, ce n’est pas suffisant. J’ai des soins sur 10 jours, donc jusqu’à leur fin ; c’est à prendre ou à laisser.

— Bon, d’accord, je n’ai pas le choix.

— Bon ; pour commencer, tu vas me faire la piqûre en sous-vêtements.

Élodie a baissé la tête sans répondre, sachant qu’elle était coincée. Elle déboutonna lentement son chemisier et le posa sur un dossier de chaise, dégrafa le côté de sa jupe qu’elle enjamba et plaça sur le chemisier. Les joues rouges, elle s’affaira pour préparer l’injection, évitant le regard goguenard de l’homme. Dans cette situation éprouvante pour ses nerfs, elle réussit la piqûre à la perfection. Pour la féliciter, il lui empoigna les fesses à deux mains en baissant sa culotte, et la tira contre lui, lui léchant le torse d’une langue baveuse.

— Tu préfèrerais pas l’avoir dans ta chatte, ma grosse langue ? Viens avec moi, ma petite salope.

Il la fit entrer dans une chambre où régnait un désordre indescriptible : lit défait, vêtements entassés, sales ou non, verres, cannettes, bouteilles.

— Allez, enlève ta culotte, puis sur le lit ; et écarte les cuisses pour bibi… Putain, une vraie blonde avec une petite touffe ! Demain, je veux que tu sois épilée ; plus un seul poil sur la motte, tu entends ?

— Mais, je ne… Et mon mari, comment je vais lui expliquer ?

— Je m’en fous : t’auras qu’à lui dire que c’est pour lui que tu l’as fait. Putain, tu es mouillée, grosse salope, t’as envie que je te lèche la chatte ! J’y crois pas.

Il avait plongé en avant et sa langue épaisse a commencé à glisser sur la fente rose et humide ; Élodie a soupiré, son corps en manque tremblait et se tendait, et ce fut pire quand il aspira dans sa bouche les lèvres intimes dans un bruit obscène. Elle poussa un cri en jouissant, surprise par le trop-plein d’émotions dû à son état de manque. Il se releva, satisfait, et exhiba une verge épaisse, noueuse et sentant mauvais, un mélange de sperme, sueur et urine ; il la guida entre les lèvres intimes trempées et poussa, s’enfonçant facilement malgré son diamètre.

Élodie ne songea même pas à s’y opposer. Submergée par ses émotions, elle noua ses jambes fines autour du torse de son amant, réalisant qu’elle ne se rappelait même plus de son nom ni de son prénom. Elle serra les dents quand l’homme commença à se retirer pour plonger dans son vagin peu habitué à un pareil engin. Le gros ventre l’écrasait sur le lit défait ; il devait peser le double de son mari, et sa verge, ma foi, était bien raide, épaisse et longue.

Il souleva son soutien-gorge pour empoigner ses seins, les tordant et faisant saillir les mamelons turgescents, tout en la prenant de plus en plus fort ; elle entendit un gémissement continu avant de réaliser qu’il sortait de sa gorge, et lorsqu’il se planta profondément pour éjaculer, elle jouit à nouveau.

Quand elle reprit ses esprits, quelques secondes plus tard, il pesait sur elle, sa verge toujours aussi raide profondément plantée dans son vagin. Elle plissa le nez une nouvelle fois à cause de son odeur et tenta de le repousser sur le côté.

— Alors, petite puce, le gros Franck t’a fait grimper aux rideaux ? Tu as aimé, ma salope : tu couinais comme une truie quand je te ramonais. Allez, je te laisse ; on remettra le couvert dans un moment. Va travailler un peu !

Élodie put enfin se lever ; elle constata que son vagin dégorgeait son trop-plein de sperme sur le drap sale. C’est toute nue qu’elle fit le ménage ; en premier, elle remplit trois grands sacs poubelle avec tous les déchets qui jonchaient le séjour et la cuisine. Elle dut les sortir sur le palier avant de lancer une lessive de vêtements et sous-vêtements souillés, puis vaisselle. Elle travailla trois heures sans relâche sous le regard concupiscent de Franck, assis nu dans un fauteuil, qui lui mettait la main aux fesses, voire plongeait des doigts dans son vagin.

À sa honte, elle n’était pas insensible à ses attouchements ; ses mamelons étaient durs et tendus, et quand il se leva, la verge gonflée, violacée, couverte de semence séchée, elle s’approcha de lui, tête baissée. Il la toisa en ricanant, se masturba en caressant ses grosses couilles velues.

— Alors, petite chienne, tu as envie de te faire baiser ? On dirait que tu n’attends que ça. Avec ta gueule de sainte-nitouche, tu trompes bien ton monde. Si tu veux ma bite, tu n’as que le demander.

— S’il vous plaît…

— Quoi ? Tu la veux, ma grosse bite ? Dis-le, merde !

— Oui, prenez-moi, je vous en prie…

— Caresse ta moule, fourre des doigts dans ta chatte, salope, écarte bien… Voilà, c’est bien, tu n’es qu’une chienne en chaleur.

Il la poussa contre le fauteuil et la pénétra aussitôt jusqu’à la garde ; elle était trempée et brûlante. Franck la besognait méthodiquement ; sa grosse bite trapue remplissait bien le vagin serré d’Élodie qui haletait, les mains crispées sur les accoudoirs, projetée en avant à chaque poussée. Elle jouit alors qu’il grognait et accélérait la cadence ; elle le sentit se vider en elle, remplissant sa matrice de semence épaisse.

— Allez, à genoux, nettoie ma bite, salope, vite !

— Pas ça, s’il vous plaît, c’est sale.

— Tu veux ma main dans la gueule ? C’est ta mouille et mon sperme, tu va tout bien nettoyer avec ta langue ! À genoux ! Bien, tu vois, tu t’y mets…

Surmontant son dégoût, Élodie a commencé à passer sa langue sur la verge gluante, songeant qu’elle avait toujours refusé ça à son mari. Malgré l’odeur d’urine et de négligé, elle finit par gober le gland et aspirer le sexe flasque et le nettoyer soigneusement. Gauche, elle se releva et regarda Franck, incertaine sur la conduite à tenir.

— Je voudrais me doucher, maintenant.

— Tu feras ça chez toi. Il est quelle heure ? 20 heures 10 ? Allez, fous le camp ; pas la peine de mettre de culotte demain, ni de soutif d’ailleurs.

— D’accord.

Il lui donna une petite gifle sèche. Pas très douloureuse, mais humiliante.

— Tu m’appelleras « Monsieur ». Compris ?

— Oui, Monsieur.

— Fous le camp. Et demain, sois à l’heure.

Élodie est rentrée chez elle au radar ; son mari lui a ouvert la porte et l’a examinée de la tête aux pieds. Consciente d’être sale, couverte de sueur, les cuisses poisseuses de semence, elle le poussa pour se précipiter dans la salle d’eau où elle s’enferma. La douche lui remit les idées en place en même temps qu’elle nettoya son corps. Quand elle sortit, enveloppée dans une grande serviette de bain, Éric l’attendait ; elle refusa d’aller se blottir dans ses bras et ils restèrent debout l’un en face de l’autre, comme des étrangers.

— Élodie, ça va ? J’étais inquiet ; ça s’est bien passé ?

— À ton avis ?

— Il t’a violée ? C’est ça ? Il faut porter plainte…

— Tais-toi ! Non, il ne m’a pas violée. Il m’a baisée, deux fois, et je l’ai laissé faire.

Éric la regardait d’un air apitoyé, et en même temps il bandait, de penser que sa jolie femme s’était fait prendre par un étranger. Il s’approcha d’elle tendrement et elle le laissa poser ses mains sur ses épaules et les masser.

— Tu as faim ? J’ai fait une quiche lorraine, avec de la salade…

— D’accord.

— Après, je te ferai un massage pour te déstresser, tes muscles sont tendus.

— Et puis il faut que je sois épilée entièrement.

— Entièrement ? Bon.

Élodie alla manger, songeuse. Elle savait que sa vie de couple avait pris un tournant irréversible. Éric n’était plus son partenaire sexuel unique ; il ne la satisfaisait pas, alors que Franck, cet homme grossier et sale, l’avait fait jouir plusieurs fois. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi, d’ailleurs ; il l’avait menacée, giflée, et malgré tout elle avait réagi à ses attouchements, s’était offerte sans pudeur ; il l’avait pénétrée avec son gros sexe, l’écrasant de sa masse, l’avait besognée rudement. En y repensant, Élodie était troublée, son ventre était tout chose.

Après le repas, Éric l’a conduite sur la table de massage qu’ils avaient achetée d’occasion un an plus tôt. Sans rien dire, Élodie dénoua sa serviette et l’étendit sur la table avant de s’allonger sur le ventre, les bras le long du corps. Éric commença à verser un peu d’huile camphrée sur son dos ; il aimait la masser, mais cela arrivait trop rarement à son goût. Il commença par le haut et les épaules pour finir par les mollets et la plante des pieds, puis demanda à Élodie de passer sur le dos. Il vit tout de suite que ses bouts de seins roses étaient gonflés et durs.

Il attaqua cette fois par le bas, et s’arrêta à hauteur du pubis, couvert d’une fine toison blonde et bouclée.

— Je vais chercher l’épilateur électrique ? C’est le plus pratique pour ce que tu veux.

— D’accord, mais va doucement : c’est un peu douloureux.

Éric acquiesça, tout excité ; il épila donc soigneusement la vulve, jusqu’au périnée et entre les fesses, avant de faire les aisselles. Quand Élodie se souleva, elle examina son pubis bombé et complètement lisse, un peu rouge. Éric massa ensuite le pubis irrité, mais Élodie le repoussa quand il tenta des caresses trop poussées.

— Arrête, je suis fatiguée. Je vais me coucher.

— D’accord, ma chérie, je comprends, ne t’inquiète pas.

Élodie, épuisée, s’endormit très vite alors qu’Éric tournait dans le lit, obsédé par des images de sa femme faisant l’amour avec un autre homme, jouissant sous ses assauts. Il se masturba dans le noir sans parvenir à éjaculer. Le lendemain matin, Élodie partit sans faire de bruit car son mari dormait encore. A 16 heures, elle était chez Franck, qui lui ouvrit, pas rasé, sale et empestant la bière, vêtu en tout et pour tout d’un caleçon froissé.

— Bonjour, Monsieur.

— Entre, petite salope. Et enlève ta robe. Bien, tu m’as obéi, tu n’a rien dessous, comme une bonne petite pute. Et tu es épilée. Tu fais encore plus pute comme ça.

— Vous n’aimez pas ?

— Si, tu auras ton jus de couilles, ne t’en fais pas.

Élodie réussit à peu près sa piqûre, puis Franck la fit agenouiller devant lui. Il extirpa sa verge noueuse et se fit sucer ; comme Élodie n’était pas habituée à cette pratique, il lui donna des indications en l’insultant.

— Pauvre connasse, pas foutue de sucer ! Allez, avale, et pompe vraiment, nom de Dieu ! Je sens rien, remue ta langue ; une pute de chantier est plus douée que toi ! Allez, encore, force un peu, ça va passer. Et dégueule pas sinon je te le fais lécher. Lève-toi maintenant, je vais te baiser la chatte, ma salope ; tu as intérêt à remuer le cul.

Il la prit contre le fauteuil, elle était trempée ; voyant ça, il claqua ses fesses jusqu’à les voir rougir, puis il la tira contre lui et la souleva, bien plantée sur son mandrin, et se laissa retomber sur le fauteuil. Et il la fit monter et descendre ; Élodie gémissait, les yeux clos. La verge épaisse remplissait son vagin alors que Franck avait empoigné ses deux seins et les pétrissait, pinçant les bouts jusqu’à la faire pousser un petit cri. Ce fut cela qui la fit jouir soudain, tremblant de tous ses membres, et s’écroulant sur Franck.

Lequel se leva, la tenant toujours empalée à fond, pour aller à pas lourds dans la chambre et la poser à genoux devant le lit. La tête sur une couverture sale, elle ne bougea pas, se cambrant même pour qu’il puisse s’enfoncer mieux ; il la pilonna plusieurs minutes, ruisselant de sueur sur elle, avant de se vider en épaisses saccades qui la firent jouir à nouveau. Lorsqu’il la libéra, elle s’agenouilla d’elle-même et nettoya la verge gluante d’une langue agile.

— Je peux faire le ménage, Monsieur ?

— Oui, mais demain je te mettrai un collier de chienne, pour que tu te rappelles ce que tu es. Et ce soir, tu bosses ici jusqu’à 9 heures.

Élodie se nettoya l’entrejambe avec une grosse éponge avant d’attaquer par la cuisine, qu’elle nettoya à fond, rangeant toute la vaisselle propre avant de s’occuper de la chambre de Franck, où elle remplit deux sacs poubelle de déchets, faisant une lessive des draps, puis de vêtements. Elle nettoya entrée, couloir et séjour à un rythme soutenu, s’habituant à travailler nue sous les yeux de son employeur.

Mais elle avait à peine refait le lit qu’il la culbuta dessus et la prit sauvagement en levrette, se retirant régulièrement pour se faire sucer avant de revenir la pilonner de toutes ses forces. Quand il a senti qu’il allait éjaculer, il a fait mettre Élodie à genoux devant lui et a joui dans sa bouche ouverte, l’obligeant à avaler avant de lécher sa hampe dressée. Il la tira alors derrière lui pour la pousser sur le palier, nue et le visage maculé de sperme. Avant de lui jeter sa robe et sa mallette de soins.

— Demain, tu te mets à poil ici avant de sonner.

— D’accord ; à demain, Monsieur.

— Et demain, je t’enculerai ; tu es pucelle du cul, je parie.

— Oh non, pas ça, s’il vous plaît !

— Ta gueule ! À demain ; t’auras qu’à te lubrifier avant de venir !

Élodie rentra chez elle, fourbue et sale ; elle bouscula presque Éric pour se ruer sous la douche ; la soirée passa dans le brouillard, elle refusa de discuter avec son mari, refusa qu’il la touche et se tourna dans son coin pour dormir. Elle pensa longtemps à ce qui l’attendait le lendemain, en rêva aussi car elle se réveilla avec le minou tout humide. Elle passa sa journée en mode automatique, consciente de sa non-implication, d’exécuter les tâches confiées sans y mettre de cœur.

Arrivée sur le palier de l’appartement, elle se déshabilla rapidement et sonna, tête baissée. Il n’ouvrit pas tout de suite, la faisant patienter plusieurs minutes, angoissée à l’idée de voir passer un voisin. Il ouvrit enfin, toujours aussi sale ; il était torse nu, velu comme un singe, portant juste un slip autrefois blanc. Il la fit entrer sans un mot, lui laissa faire sa piqûre avant de lui donner une bonne gifle. Elle recula, les larmes aux yeux, ne comprenant pas.

— Pardon, Monsieur. Je vous ai fait mal ? Je suis désolée.

— Ta gueule. Tu as le cul propre ? Tu es lubrifiée ?

— Oui, un peu…

— Alors je vais t’enculer pour t’apprendre à réussir tes piqûres ; va sur le lit, à genoux, le cul vers la porte, écarte tes fesses que je puisse viser, penche-toi, la tête sur le lit…

Mortifiée, Élodie obéissait, consciente que son corps la trahissait encore une fois ; sauf que cette fois, Frank en avait après son anus, vierge encore car elle s’était toujours refusée à la sodomie. Alors elle était anxieuse, d’autant que Franck était pourvu d’un engin épais qui risquait de la déchirer. Il commença par enfoncer un doigt ; elle se crispa et il donna une bonne claque avec son autre main.

— Tu es serrée, tellement tu as la trouille ! C’est que mon doigt, alors tu te laisses faire !

Il fit lentement jouer le doigt, entrant et sortant, avant de forcer le passage avec un deuxième, arrachant un gémissement à Élodie, consciente de la posture obscène qu’elle avait. Un froid dans ses reins : il versait du lubrifiant dans la raie des fesses, le faisant pénétrer avec ses doigts dans l’orifice convoité. Il travailla patiemment l’anus, jusqu’à glisser trois gros doigts joints jusqu’à la jointure avant de présenter sa queue raide.

— Ne te crispe pas, ma salope, tu auras mal sinon. Je vais te défoncer le fion de toute manière… Là !

— Oh ! Mon Dieu, non, c’est trop gros… Oh !

— C’est rentré, alors ta gueule !

Élodie serrait les dents ; les larmes sillonnaient ses joues alors que l’épais mandrin s’enfonçait en elle, dévastant son anus distendu, la bonne lubrification permettant de coulisser parfaitement. Franck était aux anges, bien serré dans les entrailles chaudes et accueillantes ; il donna de violents coups de boutoir qui arrachèrent de nouvelles larmes à Élodie, qui tomba en avant mais resta bien cambrée, écrasée sous la masse de Franck. Ses 50 kilos avaient disparu sous les 115 kilos de Franck qui la besognait avec rudesse, lui faisant sentir chaque centimètre de son engin.

À sa surprise, elle sentait son bassin qui se tendait pour aller au devant de la queue bien raide ; elle commença à geindre, accompagnant chaque ruée d’un cri de gorge. Elle sentit monter la jouissance alors qu’il accélérait en poussant des grognements bestiaux, l’insultant et lui bavant dans le cou ; quand il se planta en elle, tétanisé, et se vida dans ses reins, elle cria et jouit à son tour. Il resta vautré sur elle un long moment, soufflant comme un phoque et inondant Élodie de sueur.

— Alors, ma petite salope, tu aimes ça, te faire défoncer la rondelle ; je me sors que tu puisses travailler un peu. Tout à l’heure, je t’en remettrai une dose dans le cul. Mais d’abord, ton collier de chienne, j’allais oublier…

Élodie travailla en continu jusqu’à 19 heures avec un large collier de cuir noir pour tout vêtement. Elle nettoya à nouveau cuisine et séjour, et cette fois s’aventura dans deux chambres qu’elle n’avait pas encore ouvertes ; Franck lui expliqua que c’étaient les chambres de ses deux fils qui revenaient le lendemain.

— Tu as intérêt à faire ça bien ; ils sont pas marrants, mes deux salopards : ils te dresseront, c’est moi qui te le dis ! Et avec une petite pute comme toi, je crois que ça va leur plaire. Je pense qu’ils partiront moins souvent faire des conneries.

— Mais… Je ne sais pas… Ce n’étais pas prévu, avec vos fils, je ne savais pas…

— Eh bien maintenant, c’est prévu ! Tu leur serviras de vide-couilles comme pour moi. Ça te pose un problème ? J’ai toujours le dossier sous le coude.

Élodie baissa la tête, matée. Plus que huit jours à obéir. Il lui fallait tenir, échapper à cet homme répugnant et réussir à décrocher son diplôme. Après, tout s’arrangerait, son couple repartirait du bon pied… Elle y croyait de moins en moins ; elle se voyait comme une balle lancée dans une pente de plus en plus forte, incapable de remonter, appelée à chuter toujours plus. Elle rentra chez elle et n’adressa pas la parole à son mari ; elle se doucha, mangea et se coucha, épuisée, pour sombrer dans un sommeil sans rêves.

Le lendemain après-midi, avant de partir chez Franck, elle prit un laxatif et se fit un lavement, puis une fois bien nettoyée injecta du lubrifiant dans son anus. Arrivée devant la porte, elle trouva le collier posé par terre ; elle se déshabilla vite et se fixa le collier avant de sonner. Quand la porte s’ouvrit, elle poussa un petit cri car ce n’était pas Franck, mais un homme nu. Un des fils, bien sûr, se rappela Élodie. La vingtaine, plus grand que son père et moins gros. Nu comme un ver ; Élodie eut son regard attiré malgré elle sur sa virilité ; à moitié bandée, c’était une colonne de chair violacée qui pendait sur des testicules velus.

Elle eut le temps de se dire qu’il était aussi velu que son père quand il la tira contre lui et l’embrassa sur la bouche, les mains empoignant ses fesses et les pétrissant. Elle réalisa qu’elle était trempée quand il la souleva un peu pour planter son dard épais dans sa chatte, la laissant s’empaler d’elle-même. Elle défaillit sous l’assaut soudain. Elle se faisait prendre sur le palier par un homme qu’elle n’avait jamais vu, dont elle ne connaissait même pas le nom ! Et ce fut pire encore quand elle sentit contre ses fesses ce qui ne pouvait qu’être une autre verge bandée.

— Non, pas comme ça, s’il vous plaît ! Pas ici, pas sur le palier… Ah ! Non, j’ai mal, c’est trop gros ! Vous allez me déchirer, par pitié…

Évidemment, les deux hommes restaient sourds à ses supplications et la pauvre Élodie subissait sa première double pénétration. Ils la soulevaient par les hanches et la laissaient retomber, s’empalant jusqu’à la garde sur les deux gros mandrins ; elle poussait un cri de gorge à chaque fois mais ne protestait plus ; elle avait croisé ses mains sur la nuque de l’homme qui emplissait son vagin. Qui la força à le lâcher en se reculant et en s’extrayant du vagin ; avant qu’elle comprenne, il lui allongea deux gifles violentes en aller-retour.

Craintive, les larmes ruisselant sur ses joues marquées, Élodie commença à sangloter, douloureusement consciente de sa position. Ils étaient toujours sur le palier, nus, elle était empalée sur un épieu de chair qui lui distendait le fondement, ses pieds ne touchant pas le sol, le dos collé à son pourfendeur ; et elle venait de prendre deux fortes gifles. Elle leva les mains pour se protéger, mais le regard méchant de l’homme l’en dissuada. Elle lui adressa un regard implorant et il rit cruellement.

— Alors, petite salope, tu es bien le garage à bites dont avait parlé mon père ! Tu aimes ça ? Réponds !

— Oui, j’aime ça…

— Tu as envie que je revienne ?

— Oui…

— Alors, demande, petite pute, demande-moi !

— Oui, revenez, s’il vous plaît ! Prenez-moi, je vous en prie.

Il l’embrocha d’une poussée ; son vagin était trempé et brûlant, et elle jouit aussitôt en criant sans retenue. Une porte s’entrouvrit et se referma aussitôt. Toute honte bue, Élodie se donnait sans pudeur en gémissant, éperonnée dans son ventre et dans ses reins, les seins rudement empoignés et tordus. Le premier qui éjacula dans ses reins entraîna la jouissance du second, puis ils reposèrent Élodie qui avait du mal à tenir sur ses jambes tremblantes. Elle put enfin entrer et refermer la porte sur elle en soupirant. Ils étaient déjà partis dans leurs chambres, et Franck, assis dans son fauteuil, regardait Élodie d’un air goguenard.

— Alors, comment tu as trouvé mes fils ?

— J’ai été surprise, Monsieur. Ils sont… vigoureux.

Elle put enfin faire son injection à Franck, sans trembler, mais troublée de sentir ses orifices se vider peu à peu de semence sur l’intérieur de ses cuisses. Elle put enfin se nettoyer, mais Franck l’appela aussitôt.

— Viens, salope ; suce-moi bien avant que je t’encule ; Tu dois avoir le trou bien préparé avec ce que mes fils t’ont mis !

— Oui Monsieur.

Élodie, à genoux entre les cuisses épaisses, commença à administrer une fellation ; bien sûr, il râla et l’insulta sans arrêt car elle n’arrivait pas à prendre le gland aussi profondément qu’il le voulait ; mais il était satisfait dans la mesure où elle mettait du cœur à l’ouvrage, le pompant et le cajolant du mieux qu’elle pouvait. Quand il la repoussa pour ensuite la disposer à sa guise, elle se cambra impudiquement et il la sodomisa sans effort, lui arrachant tout de même un cri étranglé. Il la pilonna brutalement, la ployant en arrière en tirant ses cheveux à deux mains, mais il fut satisfait en la sentant jouir sous ses assauts pourtant féroces.

Et ensuite, elle le nettoya soigneusement de sa langue, le regardant avec un air soumis qui lui arracha un rictus satisfait. En parfaite fée du logis, elle lava la vaisselle, rangea, repassa même du linge, ce jusqu’au moment où les deux fils surgirent de leurs chambres et l’entraînèrent avec eux pour reprendre leurs activités sexuelles. Elle cria quand ils la jetèrent sur le lit, mais elle resta allongée, offerte, comprenant qu’elle allait passer à la casserole et qu’elle n’y gagnerait rien à se rebeller. Elle tourna la tête vers eux et n’en crut pas ses yeux : ils étaient nus, leurs virilités dressées, lourdes et menaçantes ; mais ce qui la choqua, c’était les ceintures de cuir qu’ils tenaient bien serrées dans leur main droite.

— S’il vous plaît, je ferai ce que vous voulez ; ne me battez pas, je vous en prie…

— On va attendrir ton petit cul, c’est ça qu’on veut. Alors tu mords le drap et tu la fermes ; va pas rameuter les voisins !

— Sinon, on te prend dans un bois, et là on te cogne jusqu’à ce que tu sois complètement pelée du cul. C’est ça que tu veux ?

— Non, s’il vous plaît, pas ça… Je vais essayer…

Domptée, Élodie baissa la tête et mordit dans le drap qu’elle saisit et serra à deux mains, offrant ses fesses aux deux brutes. Au premier coup, elle gémit ; au dixième, elle sanglota ; au vingtième, elle était dans un état second, au-delà de la souffrance. Ses fesses étaient durement marquées, couvertes de stries entre le rouge et le brun. Le sang ne coulait pas, mais les marques allaient rester plusieurs jours. Puis ils la sodomisèrent à tour de rôle, se relayant dans son anus dilacéré ; ils se délectaient de ses gémissements, de ses râles, guettant la montée du plaisir chez Élodie.

À un moment, ses sanglots et sa souffrance s’étaient changés en plaintes puis en gémissements de plaisir qu’elle essayait de ravaler pour masquer sa honte de jouir dans ces conditions. Mais rien n’y faisait : son corps la trahissait, elle aimait être traitée comme la dernière des traînées, avilie et prise de force. Ils jouèrent longtemps avec elle, la faisant jouir quand ils le décidaient, rien qu’en la sodomisant sans finesse. Quand ils sortaient de son anus béant, elle les suppliait de revenir, de la prendre encore plus fort.

Plus tard, épuisée, repue, elle alla voir Frank qui regardait la télé en buvant une bière. Elle s’agenouilla devant lui, nue et souillée.

— Monsieur, j’ai compris ce que je suis. Je vous supplie de m’accepter chez vous et de me garder ; je serai votre soumise, je ferai ce que vous voudrez.

— Tu seras ma vide-couilles et celle de mes fils ?

— Oui.

— Et celle de qui je voudrai ?

— Oui.

— Je savais que tu n’étais qu’une petite pute ! Bien ! Tu vas rentrer chez toi, prendre tes habits les plus sexys ; le reste, tu laisses. Et tu reviens ici ; tu as une heure. Je vois que mes fils ont bien marqué ton cul. À ton retour, je m’occuperai de tes gros seins : tu vas déguster.

Auteure : Petite Julie

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23 Jul 2016 9:29AM
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Incest cuckold confession

Me(Tom,22) and my gf(steph, 22) been dating for bout 5 years now. Shes petite/fit w nice ass and legs w A cups. We have been living together and taken her brother(Mike) in to live with us.

Im 5'6, 22, fairly fit and good looking. My penis is 5.5 - 6 inches.

Her brother, Mike, is 21 years old, 5'6. Hes a gamer but hes not in the best shape but hes not completely fat either.

So we all share the same room in our apt, 2 separate beds. He works 2nd shift and works alot of overtime so we dont see him much. To start off, me and steph has had alot of fantasies about cuckold, swinging, and threesomes. Me, personally, am into watching incest(stepth did not know this. Im not interested in doing it but am interested when others do it.

I never thought about it until one night we were havong sex while mike was asleep and it gave me the idea. I brought it up if steph wanted mike's dick(tried to sound like i was joking), steph said "gross, i wouldnt do that." But her pussy got super wet. We finsihed.

The next week, while doing it, i brought it up again, she said no but i psuhed for it. While askong her, i thrusted even harder and she said "yes, give me mike's cock!!" She came hard as so did i. We fantasized it and i tried to pus fr her to do it forreal. She said if it happen it would be great but it is her brother and it would be weird.

She was reluctant but i pushed for her to trase him. She was doing "insanity" in the livingroom while mike was gaming on his phone. She was doing squats with her ass facing Mike. Not sure if Mike noticed but im sure he did. Next few months, we had great sex fantisizing about this idea. Tried to get her to sneak peek at Mikes cock(he sleeps with the same room and in boxers.). She could never get a good view. She would try to flirt here and there with him. Sometimes i would see it pop out when he wears shorts.

Overall, i wanted to see Mike tear Stephs pussy up. Perhaps they vould even cuddle in the middle of the night and have a emotional relationship. I always wanted to try steph after shes been filled w mikes cum.

Too bad after a few months, mike moved out on his own. Me and steph still fantasize about it.

Recently, mikes roommates were moving out so we were planning on asking mike to move back in with us so we could really try to push for this. Hopefully, it goes through good but for now we jus have to wait.

Please comment below!! Give me tips on how to further push this. Steph is still kond of reluctant but willing yo roleplay.

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20 Apr 2013 3:11AM
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looking fr a cpl or single lady to dominate me 25 year old male wants to be abused...anything goes midlands uk

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07 Apr 2020 12:33AM
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I'm so horned up.........fr.........need release in CC, KS

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26 Jul 2017 1:24AM
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Looking fr a vid i saw awhile back. An older guy was showering and a young girl came in and masturbated until be got out and caught her. Seems like there were multiple scenes. Please help

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04 Mar 2014 5:29PM
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oh wow, Australia, you have some fucking HOT girls over there, and they make some fucking great clips!
this one, theses two are great.

http://video.search.yahoo.com/video/play?p=australian+lesbians&vid=720884bd9e34845a02c7e3e936a163a2&l=30%3A09&turl=http%3A%2F%2Fts4.explicit.bing.net%2Fth%3Fid%3DVN.60566307%26pid%3D15.1&rurl=http%3A%2F%2Fwww.tnaflix.com%2Fmasturbation-videos%2FNatural-Australian-Amateurs-Indiana-Angela-White%2Fvideo489429&tit=Natural+Australian+Amateurs+-+Indiana+%26+Angela+White&c=9&sigr=137t707p7&sigt=11k4lak19&ct=p&durs=long&age=0&fr=sfp-vid&tt=b

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@confessions
02 Jan 2014 9:37PM
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Just got back from a week with my extended family. Cousins, Aunt's, Uncles, Parents siblings all of us. They're were about 30 of us. Most of the grandkids 12 of us are in our early 30's and 20's. My Aunt is fairly well to do and has a big house where all the parents stay. I have a cousin who lives in my Grandparents house and all the single cousins stayed there.7 of us, the youngest who are 17 yr old twins and they stayed at my aunts,4 boys 3 girls. We got back Christmas Eve and started drinking. Lot of funny stories and laughs and pranks on the ones that crashed first. That night my cousin Heather,who is adopted along with her two brothers the twins, and I were chatting. I'm 25 and she is 23. She was telling me about her new job and that she could transfer to several different cities if she wanted. We've always been close, our parents lived across the ST from each other most of our lives until her dad transferred about 4 hrs away right before her FR year of high school. The drunker we got the closer she got to me when she told me she had a secret. I asked her what and she leaned over and told me she's had a crush on me since she was 12. She kissed me on the cheek then patted my head like a little boy then she went to bed. She's not gorgeous she is attractive and in shape but she has something about her that makes you want to be with her. Anyways I immediately was turned on but figured it was drunk nonsense. I crashed on the couch. Everybody started waking up way to early but my Aunt was calling mad bc we where supposed to be having brunch and she knew we were all hammered. I got in the shower and was trying to wake up when Heather busted in. She had on a tank top no bra and yoga pants. She said sorry but it's not like we haven't seen each other naked before. I said it was almost 20 yrs ago and neither one of had any hair. She pulled her yoga pants out looked down and said somethings never change. Then yanked back the shower curtain and said well I guess they do in your case. Then closed it back and started putting on her make up and getting ready. Then was gone. She spent the rest of the day slapping me, patting me, hugging me, snuggling by me on the couch.I could tell she was flirting but I just couldn't imagine why. That day passed we all went back and crashed. I grabbed a bed that night bc the couch sucks. About the time I fell asleep Heather came in and asked if she could sleep on the floor like she did when were kids. We talked for a second and as we were drifting off she said Gnight, I love You. I said love you too which she responded NO I LOVE YOU. Then rolled over and went to sleep. I laid there suddenly wide awake not having a clue what's going. When I woke up the next morning she was already up fixing breakfast for everybody. We stayed pretty busy that day going to the mall, which we did every year, just to get in to all the craziness. She took every advantage to touch me that day holding my hand to pull me through a crowd or hitting me when I teased her. That night I grabbed the bed again. This time she asked if she could sleep with me but had her own blankets. We talked more that night she told me about breaking up with her fiancé because there was only one guy she could ever love. She asked about old friends then kissed me on the cheek and told me she loved me then rolled over and went to bed. Luckily I was super tired and fell asleep and didn't have to think about. Things went like this for the next couple of days. Touching, teasing, flirting and cryptic messages about love. New Years Eve we all went to a big party at this bar downtown. We were all getting pretty hammered and dancing. She stayed pretty close to me all night and told guys that asked her to dance I was her boyfriend. The drunker she got the closer she danced on me until she was grinding her ass in my crotch. I was pretty hard and turned on like crazy. The countdown started and the clock struck 12 and we kissed. We made out long after we should have stopped. When we finally came to our senses she looked me in the eyes and Said I've wanted to do that since the day we drove off when we moved. I looked around and made sure none of the family was around which I don't think they were. I grabbed her hand and texted my cousin we were grabbing a taxi and heading home. On the ride we made out and got grabby over the clothes. We got to the house and got in the bed and made out some more until all her alcohol decided it needed somewhere else to go. She at least made it to the bathroom before covering the tile floor with various types of shots and mixed drinks and maybe some pizza. She threw up for a while and I cleaned up the bathroom and put her in the shower with her t shirt and panties on. I brought her a towel and a t shirt of mine and got her into bed where she immediately fell asleep. I laid on the floor and passed out pretty quick. The next morning I woke up and she was still asleep. I watched her sleep and realized how beautiful she really was and how much I laughed over the last week. Most of the cousins left yesterday flying or driving to different parts of the country. We were left alone as my cousin who lived there had some stuff to do. We chatted and you could tell things were tense and she was scared of what I thought now that I was sober. I finally said I guess we are kissing cousins now and her face went bright red. She jumped up and ran to the bathroom and locked the door and I could tell she was crying. She told me to leave her alone. So I did. She came out about an hour later and said she was going to take a nap and locked the bedroom door. She slept for 3 hours and finally woke up at 6. My cousin texted that he wasn't coming home but was going to stay at his GF's house. So I told her it was just us. We got dressed and went to a restaurant to eat. We barely talked and when we did it was about nothing. On the way home she finally spoke up and told me she was in love with me and wanted to be with me. She told me her job had an opening back in our hometown and that she was thinking about moving back. That her parents where transferring again and her brothers where going with them until they graduated. She didn't want to be alone and we had plenty of family around. I told her That was great but was a little freaked out with the whole in love with me stuff ,I knew who she was talking about but finally saying it out loud was a bit weird. We got home and watched a movie and started a fire and I wrapped up in a blanket. After about 30 mins Heather moved next to me and asked if she could share the blanket. I lifted it up and invited her next to me. She started snuggling me until we were making out again. After some kissing she was rubbing my cock on the outside of my basketball shorts. She pushed me back and slid her hands down my shorts and was stroking my cock under my shorts. I pulled off her shirt and started kissing her breasts and sucking her nipples. After a bit she took off my shirt and started kissing down my chest until she got to my shorts. She looked up like she was asking permission and I smiled and she pulled down my shorts and started kissing my cock. I've never been so hard in my life. When she finally took it her mouth I swear it grew another inch. She sucked and stroked and kissed my cock and balls for a bit.I pulled her up to me and kissed her and told her I wanted to taste her. She told me I couldn't bc she had started that morning but that she wanted me to come for her. So she went back and started sucking again going a little deeper this time. I was getting close and told her I was going to cum. She said cum in my mouth and I immediately shot a rope down her throat that made her gag. She swallowed every last drop then moved back up and kissed me we made out a little more but I was pretty much done after cumming. We went to bed and talked some more and kissed then went to bed spooning. This morning when we woke up we made out some more then took a shower together. She jerked me off in the shower and I played with her tits and rubbed her clit but she wouldn't let me do much more. We both packed and went to my aunts and ate breakfast. It was weird bc her parents where still there and I felt like a dirty child. We all chatted until I had to leave to drive the three hour back home. She walked me to the car and kissed me on the cheek and told me again she loved me and to call me when I get home so she knows I'm safe.

Well we just got off the phone and we are both freaking out. She told her mom a few weeks back that she was in love with me and that that's why she broke off her engagement. Her mom warned her that she would probably wind up heart broken bc even though we weren't blood relatives that I might think it was more than weird dating my "cousin". Our mom's are sisters and I honestly think my mom would love it if we got together bc she used to say what a cute couple we would make but I can't imagine my dad would be happy.

So now I'm torn. If this was some girl I just grew up with I could try it and if it didn't work it wouldn't matter bc I wouldn't see her for every holiday for the rest of my life. On the flip side she is awesome and I really want to fuck her but I could see it working out. Who knows? Any ideas?

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albigperve
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@requests
17 Jul 2018 10:02PM
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you come in take your cloths off no need to be coy your a slut your here to get fucked you dance a bit bounce those tits a bit

you know i'm hard you know why your here you get on all fours and crawl up to me you undo my pants your self you want this you know this is your job

it pops out at you you grab it looking me in the eye knowing your a slut feeling the whore inside you suckle the tip you lick the shaft you slide my cock down your throat you try to be slow you look me in the eye and try to play coy again but you know this is the beginning and your cunt and ass will be well used

your teasing and i don't like that i grab your hair and shove my cock balls deep in your throat you gag you cough you knew this was going to happen and you want it just as badly as i do if not more
down again and a gain shoving more farther your mascara is starting to run that's what you get you whore

a slut is not a slut unless she gets used and that's what you came for

you swallow 2,3, no 4 loads you slut you lick it all clean of course you do your a good little cock sucker arn't you

well the pre show is done your pussy is dripping its been like that sense you got here it shows you to be a whore its begging to be filled like the cum dumpster it is

i lie down this is your work you like up your sopping wet cunt with my cock you slip it inside its a bit much for you to take a bounce or two and your good your cunt as been aching for this this is the one you like it makes you feel like a slut to see your tits bouncing you know your blushing you love it tho in your mind all you can say is wow i am a slut

this is good but you know i want more you had your fun now its min turn i dig my claws in and pull you down deeper harder

you gasp you hold your breath you bite your tongue you hold it in but you love it you know this is what your body is meant for its going to be well used by the time i get done

up and down up and down harder and harder before long your doing it your self pounding your self riding me hard like you know i would and know you love more then anything

you go as hard as you can more and more faster an faster you collapse you don't think you can take any more but i'm not done yet

i grab your waist spread your legs with mine and use my chest and leg to thrust you shriek in shock and a little discomfort you already came and this is too rough and just not fair

...ok i'm done now time for the finale you weakly meekly sit up on all fours your gasping out of breath

you don't like this part it hurts and your tired but in the back of your mind your pussy still drenched and full the cum you can still taste on your lips you know you love it you know you want it it makes you hot it makes you want more

this is what makes you feel used this is what makes to feel like a slut but you love it you'd never say so but you do

i go into your ass my cock easier to slide in from the spit and cum you cry out it hurts that's true no other way to say it but the pain makes you feel proud you can take it it makes you more of a woman

i grab you ass grab you legs your not going any ware i have you where and how i want you you cry you beg tears well up you know it dose no good just don't let him see you say in your mind don't let him know how wet that makes you how much you love your ass getting slapped how even the very real pain makes you so hot you blush

i'm pounding your ass your crying your yelling you swear you hate me it's only making it worse

your so glad i cant see your face your tongue hanging out your tits flapping around god you are such a whore you keep telling your self this is the last time you can't do this any more

you feel my cum gush out in your ass its so warm so good it floods your body it makes you warm it makes you happy a smile curls on your lips and for a wile you bask in it it feels so good its so warm you love it and it makes you proud you know so few woman can take it like you can your a real woman you know how to fuck

i sigh and you snap out of it you mustn't let me see " your an asshole" you say defiantly

"you wanted it you came to me" you scoff at me you grab your things you leave if you know it or not you tease me shaking your ass jiggling your tits

"hope your happy with your self fuck wad i'm never talking to you again"

i smirk "we didn't talk anyway"

you slam the door you crank your car and let the wheals sequel when you're fr enough away you lick your lips and taste the salt again at home you check your phone you left your bra and panties

"shit bring them to me..."

dose this sound like you send me a pm at my page we will see what we can do

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@confessions
31 Oct 2011 9:04PM
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Hi fellow Motherless Fans hope u all having a good time I figured it's about time I shared something with U all.

Basically from when I met my now Wife I have had a strange attraction to her Mother at the time I met her she was 53yr old but she was still hot fr her age with a body some ladies 10-15 yr younger would be proud off.

Back story is my father in law has been sick from long before I met my wife and the short of this is she had'nt had sex for about 5 years when I met my future Mum in law.

so year and a bit into dating her daughter I was down visting and my still girlfriend at this stage and her mum had worked their way though a bottle of wine so just a bit tipsy and my G/F popped next door to see 1 of her old friends leaving me and her mum to chat and I don't know who started it but the chat got frisky and soon I was sitting there with a hard on and when she let it slip she had'nt had sex for years I suggested that I could help her out.

At first she did'nt say anything and tried to change the subject but a few minutes later she asked if I was serious (I was) and next thing I know she kissing meand after bit of kissing and slipping my hand up her to to feel her breasts I unzipped and let my cock out and after a few wanks of it she took off her skirt and knickers and right there on sofa I mounted her and plowed her until I cum inside her.

After this we sorted ourselves out and agree to meet when she felt she needed some release and when my wife on her period and for last 8years have done so. Plus points 1- not one of her family including my wife have even supected what is going on 2- as she too old to get pregnant and she thinks that I only have sex with her and my wife ( have had 1 short 2 fuck fling and another that lasted couple of months)i never need to wear condoms with her which as I hate wearing them is good enough reason not to bother with other pussy scary thing she now 62 and is still hot looking but staring to show age just hope I keep plowing for while yet before it feels wrong.

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@confessions
31 Oct 2019 4:45AM
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I confess it all started when I fucked my girlfriend 13 years ago. Her pussy was quite large and it was easy to stick my fist in it. After 5' of stimulation she started making a mess. The whole bed was wet including myself. That left me baffled as I didn't understand why that got me so horny. I proceeded to do it again, and again until she begged to stop. She was gone fr my life afterwards but the feeling of getting wet while playing with a pussy never did. I'm constantly searching for that golden stream to be soaked again. Any loose pussies that want to do that for/on me?

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@random
22 Oct 2020 1:24PM
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DAMN. I luv being straight fr tho‽

Although 100% an ally of the LGBTQ+ community and, absolutely will NOT Think twice about taking ur main bitch captive with the natural lure that my rainbow studded belt dishes on the regular ( that shit absolutely-💯%, NO DOUBT ABOUT IT- and most certainly gay AF mind u‽😵) If you're ho' ass wanna test me on the ideological validity of any one of these groups tho‽ I will throat fuck the shit out you with factual analysis of ur little cucky bitch tier phobias about someone else's personal propensities. Go ahead! I'll wait. Go crawl back into the cave in which you came from now, kk‽

Your Local AtrocityGuide
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