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csml
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@random
05 May 2014 2:07PM
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Un texte parmi ceux publiés sur : http://cafeaphrodite.blogspot.fr/

16 heures pile ; Élodie entra dans le vieil immeuble, le cœur serré. Il ne fallait pas qu’elle se rate ; ces saletés d’intraveineuses lui portaient peine, et justement ce nouveau patient en attendait une. Elle en tremblait presque ; elle finissait ses études d’infirmière et, à presque 21 ans, espérait décrocher son diplôme.

Depuis trois jours, elle était en stage dans un centre de soins, son dernier stage, primordial, de fin d’études. Les jours précédents s’étaient mal passés ; elle avait travaillé en doublon dans le centre avec une vieille infirmière hargneuse, elle était trop anxieuse, l’ambiance était mauvaise, en plus. Alors elle rentrait chez elle et pleurait sur l’épaule de son mari. Éric n’avait pas de travail ; il déprimait car il ne trouvait rien (serveur en restaurant), sauf de petits boulots au noir ; et il devait consoler sa jeune femme quand elle craquait.

Étant stagiaire, elle n’avait pas le droit de pratiquer seule, pas encore. L’infirmière qu’elle devait seconder s’était blessée ce matin, et sa responsable – une pète-sec qui l’avait dans le collimateur depuis son arrivée – lui avait dit de faire la visite seule et de ne pas faire de vagues. C’était la première fois qu’elle sortait du centre et travaillait seule, alors c’était l’angoisse.

Pas facile, quand on est en stage de probation, de rester calme, polie, de réussir tous les actes médicaux prescrits. Elle tremblait un peu en sonnant à la porte, sa sacoche à la main. Un homme a ouvert, l’air revêche. Elle a reculé en le voyant : un visage patibulaire sur un corps imposant qui emplissait tout le cadre de la porte.

— Bonjour, je suis l’infirmière, je viens pour la première injection.

— Ouais ! Putain, ils envoient des gamines maintenant ! Enfin, entre, petite.

— Merci, Monsieur.

L’appartement sentait le renfermé alors qu’on était fin mai et qu’il faisait un temps superbe. Il l’a conduite dans un séjour miteux, encombré de linge sale, d’assiettes, verres, cartons à pizza, cannettes et bouteilles de bière. Un taudis, ou pas loin. Il s’est assis en soupirant dans un vieux fauteuil, le seul à n’être pas encombré. Elodie a fait un peu de place sur la table pour préparer la seringue puis s’est tournée vers lui. Il avait autour de 50 ans sûrement, sale, négligé ; il portait un marcel blanc à trous d’une propreté douteuse sur un bermuda à fleurs, d’où dépassaient ses membres épais et couverts d’une épaisse forêt de poils noirs. Un gorille.

Fébrilement, elle a désinfecté, posé un garrot en caoutchouc, et cherché une veine. Pas évident, même après avoir allumé le lustre. La fébrilité la gagnait ; il ne fallait pas qu’elle se loupe : la pète-sec n’attendait que ça pour la virer et soigner son rapport, ce qui serait désastreux pour l’obtention du diplôme. En désespoir de cause, elle examina le poignet et le dos de la main : trop velu ! Elle se résigna à piquer au pli du coude, et évidemment traversa la veine, provoquant un hématome. De plus en plus gros quand elle retira l’aiguille et enleva le garrot.

— Pardon, Monsieur, je l’ai ratée ; je vais la faire au bras droit.

— Et voilà, on envoie des gamines faire les piqûres, elles sont pas foutues de faire leur boulot ! Je vais appeler ton service et me plaindre.

— Je vous en prie, ne faites pas ça, ils vont me saquer. C’était pas facile à faire, avec tous ces poils…

— Dis que c’est ma faute, en plus ! Te gêne pas surtout ! Tu vas comprendre, je vais t’assaisonner !

Élodie pleurnichait, sa seringue à la main. La cata ! C’était un stage qui avait mal commencé, et maintenant…

— S’il vous plaît, laissez-moi vous faire la piqûre, je ferai attention, je vous promets.

— Moi, je vais faire des photos de mon bras et obtenir une incapacité de travail ; ensuite, je l’enverrai à ton patron.

En pleurnichant, elle a tant bien que mal réussi l’injection, puis a remballé son matériel, décomposée, prête à craquer. En plus, elle sentait que le regard de l’homme avait changé : il la reluquait d’un œil obscène. Quand elle s’est tournée vers lui pour lui dire au revoir, elle a vu que ses yeux quittaient ses fesses pour se fixer sur sa poitrine qui gonflait son chemisier blanc. Malgré tout, elle a tendu sa main, pour l’amadouer, en tentant un pauvre sourire. Il l’a saisie dans sa grande patte velue, les yeux rivés sur sa poitrine, ne paraissant pas vouloir la lâcher.

— Tu reviens demain à la même heure ; je veux que ce soit toi qui me suives à partir de maintenant. Et arrange-toi pour réussir tes piqûres. Mon dossier de plainte sera prêt à être envoyé, je te le montrerai. Après, je veux que tu fasses le ménage chez moi, sinon il part. Fous le camp.

Elle est partie en pleurant ; le quart d’heure de trajet en voiture jusque chez elle ne l’a pas calmée. Éric, son mari, l’a reçue dans ses bras où elle a sangloté de plus belle. D’une voix cassée, elle lui a raconté ses déboires et la proposition de son patient.

— Il veut que tu fasses son ménage ? C’est tout ? Ce n’est pas cher payé s’il abandonne son idée, tu sais. Je peux aller lui parler pour qu’il comprenne qu’on est déjà dans la panade. Il te paiera, en plus, si tu travailles chez lui.

— Tu verrais comment il est, Éric, il est sale, répugnant, et il est vieux !

— Ma chérie, calme-toi, il ne va pas te violer, quand même.

— C’est pas ça, mais il me regardait d’un œil si vicieux, j’ai eu honte. J’étais en jupe et chemisier, il me déshabillait du regard, le gros porc.

— Il a quel âge, cet homme ?

— Je ne sais pas, ce n’est pas sur mon dossier ici, mais 50 ans, à peu près…

— Ma chérie, toi qui m’as dit que tu fantasmais sur les vieux…

— Ce n’est pas le moment de plaisanter avec ça, tu sais !

— Tu as une petite culotte ? Montre ça…

— Non ! Fiche-moi la paix, bon sang ! Je suis complètement sur les rotules à cause de notre situation, et toi, tout ce que tu trouves à faire…

— Oui, en effet ! Tu as l’occasion de réaliser ton fantasme de faire l’amour avec un homme plus âgé, en même temps que tu l’empêches de te nuire, alors réfléchis un peu.

— Tu crois ce que tu dis ? C’est du chantage, et tu veux faire de moi une pute !

— C’est ce que je dis en effet, tes fantasmes de prostitution et de l’homme âgé, tu les as depuis longtemps, on en a parlé souvent. Et puis tu exagères, tu n’as pas à te prostituer, seulement à faire le ménage, en petite tenue sûrement.

— Je ne sais plus, tu crois qu’on est coincés ? J’ai complètement raté l’intraveineuse, je vais être virée.

— Non, chérie, on peut pas se le permettre… Tu es mouillée, dis donc !

— Arrête, Éric, c’est tes histoires. Je t’ai juré fidélité, on est mariés depuis un an. Et puis tu verrais ce type, il est répugnant, velu comme un singe… Oh ! Arrête !

Il avait soulevé la jupe et, les deux mains dans sa petite culotte, il pétrissait ses jolies fesses ; son corps réagissait, elle réalisait qu’elle mouillait abondamment. Dans la chambre, il lui enleva juste sa culotte à l’entrejambe poisseuse et la pénétra dès qu’il eut sorti sa verge de son pantalon baissé sur ses cuisses. Il était si excité qu’il s’est vidé très vite, trop vite, laissant Élodie sur sa faim. La nuit, elle eut du mal à trouver le sommeil, repensant à sa journée pourrie, à ce qu’avait dit son mari. C’était horrible : il acceptait qu’elle se donne à un inconnu ; en plus il était répugnant, cet homme.

Vieux, velu, sale. Tout du gros dégueulasse ! Elle avait glissé une main sous sa chemise de nuit, et posé la main sur son pubis, caressant les fins poils soyeux qui le recouvraient, constatant avec surprise qu’elle était toute mouillée. Elle pensa à cet homme ; il était énorme, un gorille, elle si menue, blondinette, à côté de lui, dans ses bras, sous lui qui la pénétrait… Elle secoua la tête. « Rêver de ça, faut que tu sois en manque, ma pauvre fille. »

Il faut dire que son mariage avec Éric n’avait pas tenu toutes ses promesses. Déjà elle s’était plus ou moins fâchée avec ses parents qui ne l’aimaient pas, Éric avait perdu son travail depuis trois mois et ne trouvait pas, mais Élodie avait bien vu qu’il avait refusé des postes ; il lui faisait l’amour moins souvent, fantasmant plus qu’il n’agissait.

Éric était plutôt fluet, pas très grand ni très gros, 1,69 m et 62 kg, brun aux yeux marrons, le corps lisse quasiment sans poil, un peu efféminé. Ce qui avait plu à Élodie, c’était sa douceur, son calme. Avant de se rendre compte que c’était en fait de la mollesse, un manque de caractère. Alors qu’elle avait été attirée, dans son adolescence, par les hommes mûrs et virils.

Élodie était une belle jeune femme blonde, élégante, d’une taille de 1,66 m pour 50 kg, fine et sportive, avec une jolie poitrine bien pleine qui attirait les regards masculins. Quand elle faisait son footing, presque tous les matins, en petit short et brassière assortie, les hommes la suivaient des yeux avec convoitise.

Et voilà où elle en était, frustrée, insatisfaite dans sa vie amoureuse, stressée et malmenée dans sa vie professionnelle. Comment allait-elle pouvoir se sortir de ce mauvais pas avec son patient ? La politique de l’autruche semblait la pire des solutions. Elle s’endormit enfin pour une courte nuit de sommeil.

Sa journée se passa comme dans le brouillard, elle était insensible aux piques des collègues comme aux remarques désobligeantes de la responsable. Juste avant de partir chez le patient, à 15 h 30, elle alla se rafraîchir le visage dans les toilettes, et s’examina dans le grand miroir sur la porte.

Ce matin, elle avait mis une petite jupe brun sombre de coupe droite qui laissait voir ses genoux, un chemisier crème, portés sur un tanga blanc à dentelle et un soutien-gorge assorti, et elle avait choisi des escarpins à talons hauts de 7 cm, à peine confortables mais d’une couleur crème assortie au chemisier.

C’est le visage empourpré qu’elle sonna à la porte, qui s’ouvrit immédiatement ; il devait l’avoir vue arriver.

— C’est bien, tu es à l’heure. Sinon j’aurais dû te punir. Entre.

— Bonjour, Monsieur. Pour le courrier, vous avez réfléchi ? Je vous en prie.

— J’ai même un certificat médical : mon médecin m’a affirmé que tu seras radiée de l’ordre des infirmières ; en tout cas, ta carrière sera finie avant de commencer.

— Ne faites pas ça, s’il vous plaît, je ferai tout ce que vous voudrez, je vous le promets…

— Tu as dit « tout » ? Tu m’intéresses, là. Et tu me fais la promesse ?

— Oui, je vous promets de faire tout ce que vous voulez. Je ne peux pas finir mes études comme ça, ce n’est pas possible !

— Et tu feras tout pendant combien de temps ?

— Euh… Ce soir ?

— Non, ce n’est pas suffisant. J’ai des soins sur 10 jours, donc jusqu’à leur fin ; c’est à prendre ou à laisser.

— Bon, d’accord, je n’ai pas le choix.

— Bon ; pour commencer, tu vas me faire la piqûre en sous-vêtements.

Élodie a baissé la tête sans répondre, sachant qu’elle était coincée. Elle déboutonna lentement son chemisier et le posa sur un dossier de chaise, dégrafa le côté de sa jupe qu’elle enjamba et plaça sur le chemisier. Les joues rouges, elle s’affaira pour préparer l’injection, évitant le regard goguenard de l’homme. Dans cette situation éprouvante pour ses nerfs, elle réussit la piqûre à la perfection. Pour la féliciter, il lui empoigna les fesses à deux mains en baissant sa culotte, et la tira contre lui, lui léchant le torse d’une langue baveuse.

— Tu préfèrerais pas l’avoir dans ta chatte, ma grosse langue ? Viens avec moi, ma petite salope.

Il la fit entrer dans une chambre où régnait un désordre indescriptible : lit défait, vêtements entassés, sales ou non, verres, cannettes, bouteilles.

— Allez, enlève ta culotte, puis sur le lit ; et écarte les cuisses pour bibi… Putain, une vraie blonde avec une petite touffe ! Demain, je veux que tu sois épilée ; plus un seul poil sur la motte, tu entends ?

— Mais, je ne… Et mon mari, comment je vais lui expliquer ?

— Je m’en fous : t’auras qu’à lui dire que c’est pour lui que tu l’as fait. Putain, tu es mouillée, grosse salope, t’as envie que je te lèche la chatte ! J’y crois pas.

Il avait plongé en avant et sa langue épaisse a commencé à glisser sur la fente rose et humide ; Élodie a soupiré, son corps en manque tremblait et se tendait, et ce fut pire quand il aspira dans sa bouche les lèvres intimes dans un bruit obscène. Elle poussa un cri en jouissant, surprise par le trop-plein d’émotions dû à son état de manque. Il se releva, satisfait, et exhiba une verge épaisse, noueuse et sentant mauvais, un mélange de sperme, sueur et urine ; il la guida entre les lèvres intimes trempées et poussa, s’enfonçant facilement malgré son diamètre.

Élodie ne songea même pas à s’y opposer. Submergée par ses émotions, elle noua ses jambes fines autour du torse de son amant, réalisant qu’elle ne se rappelait même plus de son nom ni de son prénom. Elle serra les dents quand l’homme commença à se retirer pour plonger dans son vagin peu habitué à un pareil engin. Le gros ventre l’écrasait sur le lit défait ; il devait peser le double de son mari, et sa verge, ma foi, était bien raide, épaisse et longue.

Il souleva son soutien-gorge pour empoigner ses seins, les tordant et faisant saillir les mamelons turgescents, tout en la prenant de plus en plus fort ; elle entendit un gémissement continu avant de réaliser qu’il sortait de sa gorge, et lorsqu’il se planta profondément pour éjaculer, elle jouit à nouveau.

Quand elle reprit ses esprits, quelques secondes plus tard, il pesait sur elle, sa verge toujours aussi raide profondément plantée dans son vagin. Elle plissa le nez une nouvelle fois à cause de son odeur et tenta de le repousser sur le côté.

— Alors, petite puce, le gros Franck t’a fait grimper aux rideaux ? Tu as aimé, ma salope : tu couinais comme une truie quand je te ramonais. Allez, je te laisse ; on remettra le couvert dans un moment. Va travailler un peu !

Élodie put enfin se lever ; elle constata que son vagin dégorgeait son trop-plein de sperme sur le drap sale. C’est toute nue qu’elle fit le ménage ; en premier, elle remplit trois grands sacs poubelle avec tous les déchets qui jonchaient le séjour et la cuisine. Elle dut les sortir sur le palier avant de lancer une lessive de vêtements et sous-vêtements souillés, puis vaisselle. Elle travailla trois heures sans relâche sous le regard concupiscent de Franck, assis nu dans un fauteuil, qui lui mettait la main aux fesses, voire plongeait des doigts dans son vagin.

À sa honte, elle n’était pas insensible à ses attouchements ; ses mamelons étaient durs et tendus, et quand il se leva, la verge gonflée, violacée, couverte de semence séchée, elle s’approcha de lui, tête baissée. Il la toisa en ricanant, se masturba en caressant ses grosses couilles velues.

— Alors, petite chienne, tu as envie de te faire baiser ? On dirait que tu n’attends que ça. Avec ta gueule de sainte-nitouche, tu trompes bien ton monde. Si tu veux ma bite, tu n’as que le demander.

— S’il vous plaît…

— Quoi ? Tu la veux, ma grosse bite ? Dis-le, merde !

— Oui, prenez-moi, je vous en prie…

— Caresse ta moule, fourre des doigts dans ta chatte, salope, écarte bien… Voilà, c’est bien, tu n’es qu’une chienne en chaleur.

Il la poussa contre le fauteuil et la pénétra aussitôt jusqu’à la garde ; elle était trempée et brûlante. Franck la besognait méthodiquement ; sa grosse bite trapue remplissait bien le vagin serré d’Élodie qui haletait, les mains crispées sur les accoudoirs, projetée en avant à chaque poussée. Elle jouit alors qu’il grognait et accélérait la cadence ; elle le sentit se vider en elle, remplissant sa matrice de semence épaisse.

— Allez, à genoux, nettoie ma bite, salope, vite !

— Pas ça, s’il vous plaît, c’est sale.

— Tu veux ma main dans la gueule ? C’est ta mouille et mon sperme, tu va tout bien nettoyer avec ta langue ! À genoux ! Bien, tu vois, tu t’y mets…

Surmontant son dégoût, Élodie a commencé à passer sa langue sur la verge gluante, songeant qu’elle avait toujours refusé ça à son mari. Malgré l’odeur d’urine et de négligé, elle finit par gober le gland et aspirer le sexe flasque et le nettoyer soigneusement. Gauche, elle se releva et regarda Franck, incertaine sur la conduite à tenir.

— Je voudrais me doucher, maintenant.

— Tu feras ça chez toi. Il est quelle heure ? 20 heures 10 ? Allez, fous le camp ; pas la peine de mettre de culotte demain, ni de soutif d’ailleurs.

— D’accord.

Il lui donna une petite gifle sèche. Pas très douloureuse, mais humiliante.

— Tu m’appelleras « Monsieur ». Compris ?

— Oui, Monsieur.

— Fous le camp. Et demain, sois à l’heure.

Élodie est rentrée chez elle au radar ; son mari lui a ouvert la porte et l’a examinée de la tête aux pieds. Consciente d’être sale, couverte de sueur, les cuisses poisseuses de semence, elle le poussa pour se précipiter dans la salle d’eau où elle s’enferma. La douche lui remit les idées en place en même temps qu’elle nettoya son corps. Quand elle sortit, enveloppée dans une grande serviette de bain, Éric l’attendait ; elle refusa d’aller se blottir dans ses bras et ils restèrent debout l’un en face de l’autre, comme des étrangers.

— Élodie, ça va ? J’étais inquiet ; ça s’est bien passé ?

— À ton avis ?

— Il t’a violée ? C’est ça ? Il faut porter plainte…

— Tais-toi ! Non, il ne m’a pas violée. Il m’a baisée, deux fois, et je l’ai laissé faire.

Éric la regardait d’un air apitoyé, et en même temps il bandait, de penser que sa jolie femme s’était fait prendre par un étranger. Il s’approcha d’elle tendrement et elle le laissa poser ses mains sur ses épaules et les masser.

— Tu as faim ? J’ai fait une quiche lorraine, avec de la salade…

— D’accord.

— Après, je te ferai un massage pour te déstresser, tes muscles sont tendus.

— Et puis il faut que je sois épilée entièrement.

— Entièrement ? Bon.

Élodie alla manger, songeuse. Elle savait que sa vie de couple avait pris un tournant irréversible. Éric n’était plus son partenaire sexuel unique ; il ne la satisfaisait pas, alors que Franck, cet homme grossier et sale, l’avait fait jouir plusieurs fois. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi, d’ailleurs ; il l’avait menacée, giflée, et malgré tout elle avait réagi à ses attouchements, s’était offerte sans pudeur ; il l’avait pénétrée avec son gros sexe, l’écrasant de sa masse, l’avait besognée rudement. En y repensant, Élodie était troublée, son ventre était tout chose.

Après le repas, Éric l’a conduite sur la table de massage qu’ils avaient achetée d’occasion un an plus tôt. Sans rien dire, Élodie dénoua sa serviette et l’étendit sur la table avant de s’allonger sur le ventre, les bras le long du corps. Éric commença à verser un peu d’huile camphrée sur son dos ; il aimait la masser, mais cela arrivait trop rarement à son goût. Il commença par le haut et les épaules pour finir par les mollets et la plante des pieds, puis demanda à Élodie de passer sur le dos. Il vit tout de suite que ses bouts de seins roses étaient gonflés et durs.

Il attaqua cette fois par le bas, et s’arrêta à hauteur du pubis, couvert d’une fine toison blonde et bouclée.

— Je vais chercher l’épilateur électrique ? C’est le plus pratique pour ce que tu veux.

— D’accord, mais va doucement : c’est un peu douloureux.

Éric acquiesça, tout excité ; il épila donc soigneusement la vulve, jusqu’au périnée et entre les fesses, avant de faire les aisselles. Quand Élodie se souleva, elle examina son pubis bombé et complètement lisse, un peu rouge. Éric massa ensuite le pubis irrité, mais Élodie le repoussa quand il tenta des caresses trop poussées.

— Arrête, je suis fatiguée. Je vais me coucher.

— D’accord, ma chérie, je comprends, ne t’inquiète pas.

Élodie, épuisée, s’endormit très vite alors qu’Éric tournait dans le lit, obsédé par des images de sa femme faisant l’amour avec un autre homme, jouissant sous ses assauts. Il se masturba dans le noir sans parvenir à éjaculer. Le lendemain matin, Élodie partit sans faire de bruit car son mari dormait encore. A 16 heures, elle était chez Franck, qui lui ouvrit, pas rasé, sale et empestant la bière, vêtu en tout et pour tout d’un caleçon froissé.

— Bonjour, Monsieur.

— Entre, petite salope. Et enlève ta robe. Bien, tu m’as obéi, tu n’a rien dessous, comme une bonne petite pute. Et tu es épilée. Tu fais encore plus pute comme ça.

— Vous n’aimez pas ?

— Si, tu auras ton jus de couilles, ne t’en fais pas.

Élodie réussit à peu près sa piqûre, puis Franck la fit agenouiller devant lui. Il extirpa sa verge noueuse et se fit sucer ; comme Élodie n’était pas habituée à cette pratique, il lui donna des indications en l’insultant.

— Pauvre connasse, pas foutue de sucer ! Allez, avale, et pompe vraiment, nom de Dieu ! Je sens rien, remue ta langue ; une pute de chantier est plus douée que toi ! Allez, encore, force un peu, ça va passer. Et dégueule pas sinon je te le fais lécher. Lève-toi maintenant, je vais te baiser la chatte, ma salope ; tu as intérêt à remuer le cul.

Il la prit contre le fauteuil, elle était trempée ; voyant ça, il claqua ses fesses jusqu’à les voir rougir, puis il la tira contre lui et la souleva, bien plantée sur son mandrin, et se laissa retomber sur le fauteuil. Et il la fit monter et descendre ; Élodie gémissait, les yeux clos. La verge épaisse remplissait son vagin alors que Franck avait empoigné ses deux seins et les pétrissait, pinçant les bouts jusqu’à la faire pousser un petit cri. Ce fut cela qui la fit jouir soudain, tremblant de tous ses membres, et s’écroulant sur Franck.

Lequel se leva, la tenant toujours empalée à fond, pour aller à pas lourds dans la chambre et la poser à genoux devant le lit. La tête sur une couverture sale, elle ne bougea pas, se cambrant même pour qu’il puisse s’enfoncer mieux ; il la pilonna plusieurs minutes, ruisselant de sueur sur elle, avant de se vider en épaisses saccades qui la firent jouir à nouveau. Lorsqu’il la libéra, elle s’agenouilla d’elle-même et nettoya la verge gluante d’une langue agile.

— Je peux faire le ménage, Monsieur ?

— Oui, mais demain je te mettrai un collier de chienne, pour que tu te rappelles ce que tu es. Et ce soir, tu bosses ici jusqu’à 9 heures.

Élodie se nettoya l’entrejambe avec une grosse éponge avant d’attaquer par la cuisine, qu’elle nettoya à fond, rangeant toute la vaisselle propre avant de s’occuper de la chambre de Franck, où elle remplit deux sacs poubelle de déchets, faisant une lessive des draps, puis de vêtements. Elle nettoya entrée, couloir et séjour à un rythme soutenu, s’habituant à travailler nue sous les yeux de son employeur.

Mais elle avait à peine refait le lit qu’il la culbuta dessus et la prit sauvagement en levrette, se retirant régulièrement pour se faire sucer avant de revenir la pilonner de toutes ses forces. Quand il a senti qu’il allait éjaculer, il a fait mettre Élodie à genoux devant lui et a joui dans sa bouche ouverte, l’obligeant à avaler avant de lécher sa hampe dressée. Il la tira alors derrière lui pour la pousser sur le palier, nue et le visage maculé de sperme. Avant de lui jeter sa robe et sa mallette de soins.

— Demain, tu te mets à poil ici avant de sonner.

— D’accord ; à demain, Monsieur.

— Et demain, je t’enculerai ; tu es pucelle du cul, je parie.

— Oh non, pas ça, s’il vous plaît !

— Ta gueule ! À demain ; t’auras qu’à te lubrifier avant de venir !

Élodie rentra chez elle, fourbue et sale ; elle bouscula presque Éric pour se ruer sous la douche ; la soirée passa dans le brouillard, elle refusa de discuter avec son mari, refusa qu’il la touche et se tourna dans son coin pour dormir. Elle pensa longtemps à ce qui l’attendait le lendemain, en rêva aussi car elle se réveilla avec le minou tout humide. Elle passa sa journée en mode automatique, consciente de sa non-implication, d’exécuter les tâches confiées sans y mettre de cœur.

Arrivée sur le palier de l’appartement, elle se déshabilla rapidement et sonna, tête baissée. Il n’ouvrit pas tout de suite, la faisant patienter plusieurs minutes, angoissée à l’idée de voir passer un voisin. Il ouvrit enfin, toujours aussi sale ; il était torse nu, velu comme un singe, portant juste un slip autrefois blanc. Il la fit entrer sans un mot, lui laissa faire sa piqûre avant de lui donner une bonne gifle. Elle recula, les larmes aux yeux, ne comprenant pas.

— Pardon, Monsieur. Je vous ai fait mal ? Je suis désolée.

— Ta gueule. Tu as le cul propre ? Tu es lubrifiée ?

— Oui, un peu…

— Alors je vais t’enculer pour t’apprendre à réussir tes piqûres ; va sur le lit, à genoux, le cul vers la porte, écarte tes fesses que je puisse viser, penche-toi, la tête sur le lit…

Mortifiée, Élodie obéissait, consciente que son corps la trahissait encore une fois ; sauf que cette fois, Frank en avait après son anus, vierge encore car elle s’était toujours refusée à la sodomie. Alors elle était anxieuse, d’autant que Franck était pourvu d’un engin épais qui risquait de la déchirer. Il commença par enfoncer un doigt ; elle se crispa et il donna une bonne claque avec son autre main.

— Tu es serrée, tellement tu as la trouille ! C’est que mon doigt, alors tu te laisses faire !

Il fit lentement jouer le doigt, entrant et sortant, avant de forcer le passage avec un deuxième, arrachant un gémissement à Élodie, consciente de la posture obscène qu’elle avait. Un froid dans ses reins : il versait du lubrifiant dans la raie des fesses, le faisant pénétrer avec ses doigts dans l’orifice convoité. Il travailla patiemment l’anus, jusqu’à glisser trois gros doigts joints jusqu’à la jointure avant de présenter sa queue raide.

— Ne te crispe pas, ma salope, tu auras mal sinon. Je vais te défoncer le fion de toute manière… Là !

— Oh ! Mon Dieu, non, c’est trop gros… Oh !

— C’est rentré, alors ta gueule !

Élodie serrait les dents ; les larmes sillonnaient ses joues alors que l’épais mandrin s’enfonçait en elle, dévastant son anus distendu, la bonne lubrification permettant de coulisser parfaitement. Franck était aux anges, bien serré dans les entrailles chaudes et accueillantes ; il donna de violents coups de boutoir qui arrachèrent de nouvelles larmes à Élodie, qui tomba en avant mais resta bien cambrée, écrasée sous la masse de Franck. Ses 50 kilos avaient disparu sous les 115 kilos de Franck qui la besognait avec rudesse, lui faisant sentir chaque centimètre de son engin.

À sa surprise, elle sentait son bassin qui se tendait pour aller au devant de la queue bien raide ; elle commença à geindre, accompagnant chaque ruée d’un cri de gorge. Elle sentit monter la jouissance alors qu’il accélérait en poussant des grognements bestiaux, l’insultant et lui bavant dans le cou ; quand il se planta en elle, tétanisé, et se vida dans ses reins, elle cria et jouit à son tour. Il resta vautré sur elle un long moment, soufflant comme un phoque et inondant Élodie de sueur.

— Alors, ma petite salope, tu aimes ça, te faire défoncer la rondelle ; je me sors que tu puisses travailler un peu. Tout à l’heure, je t’en remettrai une dose dans le cul. Mais d’abord, ton collier de chienne, j’allais oublier…

Élodie travailla en continu jusqu’à 19 heures avec un large collier de cuir noir pour tout vêtement. Elle nettoya à nouveau cuisine et séjour, et cette fois s’aventura dans deux chambres qu’elle n’avait pas encore ouvertes ; Franck lui expliqua que c’étaient les chambres de ses deux fils qui revenaient le lendemain.

— Tu as intérêt à faire ça bien ; ils sont pas marrants, mes deux salopards : ils te dresseront, c’est moi qui te le dis ! Et avec une petite pute comme toi, je crois que ça va leur plaire. Je pense qu’ils partiront moins souvent faire des conneries.

— Mais… Je ne sais pas… Ce n’étais pas prévu, avec vos fils, je ne savais pas…

— Eh bien maintenant, c’est prévu ! Tu leur serviras de vide-couilles comme pour moi. Ça te pose un problème ? J’ai toujours le dossier sous le coude.

Élodie baissa la tête, matée. Plus que huit jours à obéir. Il lui fallait tenir, échapper à cet homme répugnant et réussir à décrocher son diplôme. Après, tout s’arrangerait, son couple repartirait du bon pied… Elle y croyait de moins en moins ; elle se voyait comme une balle lancée dans une pente de plus en plus forte, incapable de remonter, appelée à chuter toujours plus. Elle rentra chez elle et n’adressa pas la parole à son mari ; elle se doucha, mangea et se coucha, épuisée, pour sombrer dans un sommeil sans rêves.

Le lendemain après-midi, avant de partir chez Franck, elle prit un laxatif et se fit un lavement, puis une fois bien nettoyée injecta du lubrifiant dans son anus. Arrivée devant la porte, elle trouva le collier posé par terre ; elle se déshabilla vite et se fixa le collier avant de sonner. Quand la porte s’ouvrit, elle poussa un petit cri car ce n’était pas Franck, mais un homme nu. Un des fils, bien sûr, se rappela Élodie. La vingtaine, plus grand que son père et moins gros. Nu comme un ver ; Élodie eut son regard attiré malgré elle sur sa virilité ; à moitié bandée, c’était une colonne de chair violacée qui pendait sur des testicules velus.

Elle eut le temps de se dire qu’il était aussi velu que son père quand il la tira contre lui et l’embrassa sur la bouche, les mains empoignant ses fesses et les pétrissant. Elle réalisa qu’elle était trempée quand il la souleva un peu pour planter son dard épais dans sa chatte, la laissant s’empaler d’elle-même. Elle défaillit sous l’assaut soudain. Elle se faisait prendre sur le palier par un homme qu’elle n’avait jamais vu, dont elle ne connaissait même pas le nom ! Et ce fut pire encore quand elle sentit contre ses fesses ce qui ne pouvait qu’être une autre verge bandée.

— Non, pas comme ça, s’il vous plaît ! Pas ici, pas sur le palier… Ah ! Non, j’ai mal, c’est trop gros ! Vous allez me déchirer, par pitié…

Évidemment, les deux hommes restaient sourds à ses supplications et la pauvre Élodie subissait sa première double pénétration. Ils la soulevaient par les hanches et la laissaient retomber, s’empalant jusqu’à la garde sur les deux gros mandrins ; elle poussait un cri de gorge à chaque fois mais ne protestait plus ; elle avait croisé ses mains sur la nuque de l’homme qui emplissait son vagin. Qui la força à le lâcher en se reculant et en s’extrayant du vagin ; avant qu’elle comprenne, il lui allongea deux gifles violentes en aller-retour.

Craintive, les larmes ruisselant sur ses joues marquées, Élodie commença à sangloter, douloureusement consciente de sa position. Ils étaient toujours sur le palier, nus, elle était empalée sur un épieu de chair qui lui distendait le fondement, ses pieds ne touchant pas le sol, le dos collé à son pourfendeur ; et elle venait de prendre deux fortes gifles. Elle leva les mains pour se protéger, mais le regard méchant de l’homme l’en dissuada. Elle lui adressa un regard implorant et il rit cruellement.

— Alors, petite salope, tu es bien le garage à bites dont avait parlé mon père ! Tu aimes ça ? Réponds !

— Oui, j’aime ça…

— Tu as envie que je revienne ?

— Oui…

— Alors, demande, petite pute, demande-moi !

— Oui, revenez, s’il vous plaît ! Prenez-moi, je vous en prie.

Il l’embrocha d’une poussée ; son vagin était trempé et brûlant, et elle jouit aussitôt en criant sans retenue. Une porte s’entrouvrit et se referma aussitôt. Toute honte bue, Élodie se donnait sans pudeur en gémissant, éperonnée dans son ventre et dans ses reins, les seins rudement empoignés et tordus. Le premier qui éjacula dans ses reins entraîna la jouissance du second, puis ils reposèrent Élodie qui avait du mal à tenir sur ses jambes tremblantes. Elle put enfin entrer et refermer la porte sur elle en soupirant. Ils étaient déjà partis dans leurs chambres, et Franck, assis dans son fauteuil, regardait Élodie d’un air goguenard.

— Alors, comment tu as trouvé mes fils ?

— J’ai été surprise, Monsieur. Ils sont… vigoureux.

Elle put enfin faire son injection à Franck, sans trembler, mais troublée de sentir ses orifices se vider peu à peu de semence sur l’intérieur de ses cuisses. Elle put enfin se nettoyer, mais Franck l’appela aussitôt.

— Viens, salope ; suce-moi bien avant que je t’encule ; Tu dois avoir le trou bien préparé avec ce que mes fils t’ont mis !

— Oui Monsieur.

Élodie, à genoux entre les cuisses épaisses, commença à administrer une fellation ; bien sûr, il râla et l’insulta sans arrêt car elle n’arrivait pas à prendre le gland aussi profondément qu’il le voulait ; mais il était satisfait dans la mesure où elle mettait du cœur à l’ouvrage, le pompant et le cajolant du mieux qu’elle pouvait. Quand il la repoussa pour ensuite la disposer à sa guise, elle se cambra impudiquement et il la sodomisa sans effort, lui arrachant tout de même un cri étranglé. Il la pilonna brutalement, la ployant en arrière en tirant ses cheveux à deux mains, mais il fut satisfait en la sentant jouir sous ses assauts pourtant féroces.

Et ensuite, elle le nettoya soigneusement de sa langue, le regardant avec un air soumis qui lui arracha un rictus satisfait. En parfaite fée du logis, elle lava la vaisselle, rangea, repassa même du linge, ce jusqu’au moment où les deux fils surgirent de leurs chambres et l’entraînèrent avec eux pour reprendre leurs activités sexuelles. Elle cria quand ils la jetèrent sur le lit, mais elle resta allongée, offerte, comprenant qu’elle allait passer à la casserole et qu’elle n’y gagnerait rien à se rebeller. Elle tourna la tête vers eux et n’en crut pas ses yeux : ils étaient nus, leurs virilités dressées, lourdes et menaçantes ; mais ce qui la choqua, c’était les ceintures de cuir qu’ils tenaient bien serrées dans leur main droite.

— S’il vous plaît, je ferai ce que vous voulez ; ne me battez pas, je vous en prie…

— On va attendrir ton petit cul, c’est ça qu’on veut. Alors tu mords le drap et tu la fermes ; va pas rameuter les voisins !

— Sinon, on te prend dans un bois, et là on te cogne jusqu’à ce que tu sois complètement pelée du cul. C’est ça que tu veux ?

— Non, s’il vous plaît, pas ça… Je vais essayer…

Domptée, Élodie baissa la tête et mordit dans le drap qu’elle saisit et serra à deux mains, offrant ses fesses aux deux brutes. Au premier coup, elle gémit ; au dixième, elle sanglota ; au vingtième, elle était dans un état second, au-delà de la souffrance. Ses fesses étaient durement marquées, couvertes de stries entre le rouge et le brun. Le sang ne coulait pas, mais les marques allaient rester plusieurs jours. Puis ils la sodomisèrent à tour de rôle, se relayant dans son anus dilacéré ; ils se délectaient de ses gémissements, de ses râles, guettant la montée du plaisir chez Élodie.

À un moment, ses sanglots et sa souffrance s’étaient changés en plaintes puis en gémissements de plaisir qu’elle essayait de ravaler pour masquer sa honte de jouir dans ces conditions. Mais rien n’y faisait : son corps la trahissait, elle aimait être traitée comme la dernière des traînées, avilie et prise de force. Ils jouèrent longtemps avec elle, la faisant jouir quand ils le décidaient, rien qu’en la sodomisant sans finesse. Quand ils sortaient de son anus béant, elle les suppliait de revenir, de la prendre encore plus fort.

Plus tard, épuisée, repue, elle alla voir Frank qui regardait la télé en buvant une bière. Elle s’agenouilla devant lui, nue et souillée.

— Monsieur, j’ai compris ce que je suis. Je vous supplie de m’accepter chez vous et de me garder ; je serai votre soumise, je ferai ce que vous voudrez.

— Tu seras ma vide-couilles et celle de mes fils ?

— Oui.

— Et celle de qui je voudrai ?

— Oui.

— Je savais que tu n’étais qu’une petite pute ! Bien ! Tu vas rentrer chez toi, prendre tes habits les plus sexys ; le reste, tu laisses. Et tu reviens ici ; tu as une heure. Je vois que mes fils ont bien marqué ton cul. À ton retour, je m’occuperai de tes gros seins : tu vas déguster.

Auteure : Petite Julie

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Jostiger
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23 Nov 2012 8:44AM
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Une nouvelle histoire tr�s hard sur EroticoStory. Tags : Gay, saunas, anal, uro. I'll translate it if I have some demands.
http://www.eroticostory.com/Un-pompier-pour-mon-cul-en-feu.html

Voici un extrait :
Je pense moi aussi � partir et � regarder ailleurs si la chair est plus fra�che lorsqu'un homme d'environ quarante cinq ans se d�place vers moi. Il est svelte, bien membr� et assez sexe, le genre pompier. "Quand t'as le cul en feu, rien de tel qu'un pompier", me dis-je. Il s'assoit � me c�t�s et se colle � moi, mais sans me faire d'attouchement. Il reste l� sans broncher pendant une ou deux minutes avant de me dire dans le creux de l'oreille;
--- J'ai le go�t de me mettre.
--- Mmmm!
--- T'es top ou bottom?
--- Bottom... et toi?
--- Top.
Il met sa main sur ma cuisse et remonte jusqu'� mon sexe. Puis, il se met � genoux devant moi et me fait une fellation.
Histoires �rotiques, gifs anim�s XXX, eroticostory

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15 Jul 2012 1:16PM
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In high school I used to jack my dog off and let it fuck me. I would also fellate him. After I high school I left home and have never had that urge again to do anything like that..

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02 Jul 2014 9:01PM
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I feel the need to share this story. It truly blows my mind every time I think about it. I can’t believe I had the nerve to go through with it. Well, here goes nothing…

First let me say that my boyfriend and I were calling each other Mommy and Daddy all day. We were training our Dobermans (our babies) and were just kind of being cutesy I guess. The time came to go to bed and he asked, if I was “going to take care of Daddy like a good girl should.” Meaning let him fuck me until my knees trembled.

I said, “Whatever my Daddy wants!” We started fooling around and soon were having some really great sex.

In the heat of it, he asked me to say “Fuck me Daddy!” Well, at first I felt very awkward. But I was pretty hot too. I replied, “I think my father would be very upset if I told him to fuck me.” He groaned with passion. “I’m quite sure my father would be very mad if I told him to ram his hard cock into me.” He started pumping into me faster. “And I know he’d be upset if I told him to cum inside my tight little pussy.” He started fucking me so hard I was getting dizzy. “And I can’t imagine what my mother would say, if she walked in and saw my father fucking me…with my legs around his back and my nails digging into his shoulders.” I wrapped my legs around my boyfriend and started matching his thrusts. He was going crazy and I was getting turned on by it. “Can you imagine it? What would my mother say if she saw that… Daddy fucking me hard and fast and me saying….”Fuck me Daddy! Fuck me with that big, hard cock!” As soon as I said that, my boyfriend exploded inside of me, yelling “Oh God!” I rarely cum during intercourse, usually just during foreplay (if at all.) But that night I came so hard that I trembled for several minutes.

After we calmed down he said, “Wow, we were talking about your father during sex.”

“Yup,” was all I could say. I felt very weird after the hormones stopped racing around. I got up and took a shower. The whole time I couldn’t help but think about what I had said in bed. Inevitably, I pictured my father on top of me, fucking me. I tried to shake the thoughts, but my pussy was tingling and getting very wet. I thought about it and I guess I had pictured it while my boyfriend was fucking me. And I realized, I wanted my father to fuck me. Without even knowing, I slid my hand down my wet torso and began rubbing my clit, dreaming about my own father having his way with me. His tight balls slapping against my ass as he rammed his cock into me mercilessly. Again, I had a very powerful orgasm. I was showering with the curtain open. I looked in the mirror and I saw a look of absolute lust in my eyes I had never seen before.

I watched myself fondling my breasts, tugging at the nipples. I wanted my father to be there watching me. I asked him in my mind, “Do you like that Daddy?” And came for the third time that night.

That night I dreamt of it, the whole thing. What I had said, how much my man enjoyed it, how hard I had cum and mostly the look in my eyes. I woke with a very different feeling. I never really thought about sex that much when I was at work before. But that day I could think of little else. The other girls in my office always talk about it and were making it even harder on me to stay focused. I thought about going to the bathroom and trying to “relieve some sexual tension”. I just kept thinking of my father and his cock. A cock I hadn’t seen nor touched but was driving me crazy with lust. And I came to another realization just then… I didn’t feel weird for thinking the taboo thoughts. I just wanted to get fucked by him, very very soon.

I called my boyfriend and got him going. “Hi Daddy,” I cooed.

“Jenny?” I knew he was going to play along then. I had told him long ago never to call me Jenny because that’s what my parents call me.

“Yes Daddy, it’s me.”

“What’s on your mind Honey?”

“You are Daddy.”

“I am? And what is my little Jenny thinking about?”

“Your cock Daddy.. I want it again.. I want to feel it deep inside me.” I heard his breathing quicken and the rustling of clothes. “Whatcha doing Daddy?”

“Just thinking about you Princess.”

“You are? Are you naked Daddy?”

“Yes Dear.”

“Are you stroking that nice hard cock for me Daddy?”

“Uh huh.”

“Daddy? Am I a better fuck than Mom?”

He groaned very loudly. “Oh Christ Jen!”

“Am I Daddy? Mom has a nice body but my tits are bigger. Do you like my tits Daddy?”

“Yes Jenny, I love your tits. I always have!”

“I’m playing with them now Daddy, rubbing my hard nipples for you.”

“Oh God Jen!”

“Are you cumming for me Daddy?”

“Very close Honey!”

“Daddy…. If I were there… would you fuck me?” I heard him moan just like he did the night before. I also heard little light taps against the phone. He told me later that he came so hard it hit the phone and the pillow behind his head.

That evening we fucked like mad. I called him Daddy and he called me Jenny. I had never experienced multiple orgasms until that night. I actually thought that they were a myth!

The next day would change my life.

I left for work early, before my boyfriend got out of bed. I put on thigh high stockings and garters. All black. I had seen my father’s girlie magazines as a teen and all the girls wore black lingerie. I put on a very sheer black lace bra, no panties though. I was getting so hot thinking about what I was going to do that afternoon. I went to work and got everything done before noon. Then I went to my parent’s house. My mother was working and Dad’s car was gone. “Perfect!” I thought.

I let myself in and went directly to my old bedroom. The place I had pictured my father and I having sex. There it was… my old poster bed.. my full-length mirror… My pussy snapped when I replayed my dreams through my head.

I went down to the bathroom and removed my skirt and blouse. I was going to pretend like I had spilled something on them at work and was there to clean them. My parents live much closer to my office than I do, so no one would think it odd. I poured some coffee on them and then let them soak in the sink.

I laid down on the couch and awaited my father’s return. I was sure he was golfing and would be back by 1:30. It was 1:25. I watched the driveway anxiously. All the while lightly rubbing my nipples through my bra.

He arrived at exactly 1:37. I laid back and feigned sleep. He walked in and stopped dead. My nipples were still hard and I was wearing no panties. As I said earlier, I have a nicer body than my mother, and right then my father was getting a good look at it.

“Jenny! What in the hell are you doing?” He yelled.

I pretended to wake up and look at him, “Hi Daddy.”

“Don’t give me ‘Hi Daddy’ Why are laying around half naked?”

“I spilled coffee on my new outfit and came here to clean it.”

“You couldn’t put on a house coat?”

“I was going to, I guess I just fell asleep. Besides, it’s not like you’ve never seen me naked Dad.”

“You’re a grown woman now Jenny, it’s different.”

I was beginning to think I wouldn’t be able to go through with it, when I noticed a rather sizable lump in his pants. I had turned him on! And he was turning me on every time he called me ‘Jenny’ and he didn’t even know it! I decided it was right then or never…

“I’m not the only one that’s grown Daddy!” I said as I nodded at his hardening cock. “Or is it the fact that I have grown that’s making you grow?”

“Jenny, stop talking like that!”

I ran my hand over my breasts and cupped one. “Do you like them Daddy? Do they turn you on?”

“Jennifer Allison! Stop this right now!”

“Its okay Daddy…. just tell me. I know its been a while since you’ve seen a nice set like mine. Hasn’t it?” He was weakening, I saw him staring at the breast I was caressing. I got bolder. I lifted it out of the bra and began to pinch the nipple. “Daddy? Would you like to touch them? It’ll be our little secret.”

“Jenny… we can’t do this. You shouldn’t even be talking like this to me. I’m your father.”

“I know.. and I am your daughter. And every daughter loves her father and every father wants his daughter. You do want me … don’t you Daddy?”

With that, I laid back on the couch and ran my hand down to my pussy. I bent one leg and opened my crotch to his view. “C’mon Daddy… just this one time. No one will know.”

“Jenny.. I .. we.. this isn’t right.. your mother.. we just can’t.” He said all of this while rubbing his erection through his pants. I knew I had him.

I fell to my knees and pulled down his zipper. I found the cock I had been dreaming of. I pulled it out and stroked it. I looked into his eyes. “Does that feel good Daddy?”

“Oh Jenny…we really shouldn’t.” He tilted his head back and moaned. I moved my own head closer and kissed his beautiful cock.

“Would you like me to suck it Daddy? Do you want your little Jenny to suck her Daddy’s cock?”

“Please Jenny.. we have to stop this.”

I slid my mouth over the head of his cock and felt him look down at me. I locked eyes with him as I fellated him. I was sucking the cock that made me. My own father’s hard cock was in my mouth and I was in ecstasy. He began to move his hips a little and his hand went lightly to the back of my head. I bobbed on him for a few short minutes, then I could stand it no longer. I grabbed him by the hand and led him to my old bedroom. There I lay back on the bed.

“Daddy, please fuck me now. I have wanted this for sooo long!” As I spoke those words, I realized that I had in fact wanted to have sex with my father since I knew what sex was. I spread my legs and my father lay on top of me. I reached between us and guided him into me. “Yes Daddy… fuck me.”

“Oh Jenny. This is every father’s secret desire.” He pushed lightly into me.

“And every daughter’s.” I whispered as I licked his earlobe. I felt him slide further into my dripping crevice. I felt his weight, my father’s weight, on top of me. I arched my back, raising my hips, taking him inside me to the hilt. I could feel his balls against the lower part of my pussy lips. I came right then. I convulsed, my pussy clamping my father’s cock so hard he couldn’t even move.

“Oh Daddy! Yes! Make love to me! Fuck me! Hump me! Lay me! I am yours!”

He started thrusting into me, whispering, “Oh Jenny. I have thought about this so many times. Sometimes when I am with your mother, and the light is just right, she looks so much like you!” He looked down at my breasts.

“Except for those huh, Dad?” I said with a little grin.

“I have wanted to see them for so long Jenny. They are beautiful. Perfect.”

I was so happy I started to cry a little. He mistook it for feeling bad. I insisted that it was because I was so happy to make love to him. I told him how I always knew he would be loving and gentle. He kissed me thousands of times. Sending me over the edge countless times. Our lust took over soon after…

I got on all fours and faced my full length mirror. He wasn’t sure of what I wanted.

“Get behind me Daddy.” He moved behind me and re-entered me. I watched in the mirror. Seeing that look of lust in my eyes again. I watched as his hands grabbed my hips and pushed lightly into me. To see my own father behind me, to feel him inside of me, was a feeling like I could never describe.

“Harder Daddy. Fuck me harder!” I pushed back against him. He started to pound that lovely cock into his daughter’s pussy….my pussy. “Do you like my pussy Dad? Is it tight enough for you?” I flexed my vaginal muscles and heard him moan.

“Yes Jenny. Its so beautiful. Just like I dreamed it would be, and even better!”

Hearing him refer to his fantasies of me made me swell with lust. I bit my lip as I came again. “Daddy, shoot your hot cum inside of me!”

“I never thought I’d ever hear you talk that Jenny,” he said.

“Do you like it Daddy? Or am I too nasty?”

“Oh Jenny I love it. Your mother wont even say ‘fuck’ “

I have never heard him say that word, It made the hair on my neck stand up. “Fuck? Mom wont say fuck? She wont tell you to fuck her pussy? Well, I will Daddy. Anything you want me to say, anything you want me to do.” He began to move faster, I knew he was close. “Fuck me Daddy. Fuck me, fuck me, fuck me! God I love that hard cock in my cunt!” (I never use that word, but I was crazed.) He started grunting. “Yes Daddy! Grab my hips and fuck me. Fuck your little girl! Shoot that hot cum in my pussy!”

He could take no more. I felt his body tense and with a final thrust he blasted shot after wonderful shot of the same seed that created me into my womb. We collapsed and fell asleep soon after.

My boyfriend still has no idea it happened. I have gotten together several times with my father since then. It is the best sex I have ever had. Having my boyfriend call me ‘Jenny’ doesn’t have the same effect on me. But anytime I say, “Fuck me Daddy” to him he goes nuts. If he only knew….

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20 Sep 2009 2:10AM
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http://dansmoncul.byethost10.com/2009/09/fellation-et-ejac-dans-la-voiture/

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05 Dec 2009 10:33AM
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One random Friday I was sitting in my Chicago apartment drinking a beer and watching TV. Around 7, my phone rang. It was "Karen," one of my booty calls at the time. It was early so I was kinda confused; we normally never called each other until at least midnight, even on weekdays:

Tucker "You drunk already?"
Karen "Hehe. No baby. What are you up to right now?"
Tucker "Nothing. Watching Morimoto make some crazy mushroom cr�me brulee. Battle Porcini on Iron Chef."
Karen "Uhhh, OK. Well...I am going on some silly blind date tonight that my friend set me up on...but I was wondering if I could swing by your place and get a protein shake first?"

Very nice. Karen is obviously making an attempt to move up from Irregular Booty Call to Head Dick Sucker.

Tucker "Yeah, sure. Just come on by. I'll be here."
Karen "Cool. I'll see you soon."
Tucker "Hey baby--bring me some beer."

Not even ten minutes later, she rolled into my place...with a 12 pack of Miller Light. Karen's going to have to learn the difference between good beer and watered down horse piss if she wants to move up in my Ho Hierarchy.

She got right down to business because her date started in less than 30 minutes. I kept watching the Iron Chef, because come on, Morimoto is a genius. Plus, I've seen the show Karen was putting on before. It's really good, but it's been in syndication for months; you don't really need to pay attention till the ending.

I wasn't supposed to meet my friends until 10, so when she left around 8 I just kept drinking at my place. I started thinking about how fucking cool it was that I had a girl coming over to my place to suck me off before she went out on a date. I may not be Hugh Heffner, but I doubt many guys pull something like that off on a regular basis.

Then I started feeling bad for her date. This poor schmuck had no idea that the girl whose chair he was pulling out and buying dinner for and being nice to had her lips wrapped around my cock not even a hour earlier. God forbid if this poor dude kisses her goodnight. I wonder if it'll cross his mind that even with beer breath, her mouth shouldn't taste that salty.

But in a way, I didn't feel that bad for him. You can't make a ho into a housewife, and when you take one out on a date, you aren't helping your chances. I guess some guys never learn.

Of course, he had no idea what she was like; after all, that was the whole point of the date. I guess it just goes to show, you never really can tell...

OH SHIT!!

HOW MANY GIRLS HAVE DONE THIS TO ME??

I shot up from the couch in shock, spilling beer all over myself.

Has this ever happened to me? Have I ever been the sucker that took a girl out after she bought beer for another guy and then blew him?

Oh.My.God--it has to have happened to me. HAS TO. I've been out with so many women, there is just about no way that this hasn't happened to me. And considering the moral fortitude of many of the girls I've hooked up with--suspect at best, wretched prostitute at worst--it is damn near certain that I've been That Guy at least once.

I mean, if Karen does this for me, why not for other guys too? I am pretty fucking cool, but there are other cool guys in the world besides me. Or so my friends tell me. Plus, it's not like I've always known what I now know about women. I could have easily been the sucker many times in my life.

And why stop at dick sucking? How many girls have I slept with that were with other guys the same day as me? Or went from another guy right to me? With out even cleaning up?

I wouldn't even know would I? HOW? HOW THE FUCK WOULD I KNOW? There is no way I could tell, short of smelling the semen on her breath. Would I even smell it? Smell it--WHAT ABOUT TASTE IT?

Oh dear god. Please tell me that I haven't tasted it. I need to go vomit.

I stomped around my apartment for the two hours until I met my friends out. I explained the whole situation to them and they laughed, made fun of me, and told me to get over it. I wasn't having it:

Tucker "How can you be so cavalier about this? This is my mental health at stake! I can't be hooking up with seconds THE SAME DAY. That's for losers and douche bags, NOT Tucker Max!"
Friend "Well apparently not, Sloppy Joe."
Tucker "Aren't you just the comedian?"
Friend Tucker, haven't you done this to girls before? You know, fucked one in the morning, then gone out and picked up another and fucked her?"

This person is no longer my friend. Like I wasn't already mind-fucked enough tonight.

Tucker "SO WHAT? IT'S DIFFERENT!"
Friend "How?"
Tucker "BECAUSE IT'S ME!"
Friend "Wait--didn't you just get YOUR dick sucked tonight? And now you're out trying to get laid?"

Tucker "FUCK YOU!!"
Friend "Dude, it's happened to all of us, and we've all done it to others. Women are women, men are men. This happens to everyone."
Tucker "FUCK THAT. I AM TUCKER MAX. I AM BETTER THAN ALL OF YOU. THIS SHIT DOES NOT HAPPEN TO ME!"
Friend "Oh man; Is it going to be one of those nights with you?"

I drank, and drank, and drank, yet I was still unable to drown the thought that I'd been totally played by multiple women, and didn't even know which ones had done it to me.

That might have been the worst part--not knowing. Well, that and the prospect that I have at some point kissed a girl who still had semen caked to her teeth from 45 minutes ago. I know of at least one ex-girlfriend that cheated on me, but we were long distance and I fucked more than Caligula when I was dating her, so I wasn't pissed about that. But what about all those girls I thought were all wrapped up in me? How many of them fucked other people behind my back? Literally?

What also fucked me up was that women were doing the same thing to me that I was doing to them, except I didn't even know they were doing it. For the entirety of my life up to that point I thought I had the upper hand, that I was the player and not the playee when in fact, I was possibly just another chump. The illusion of control was shattered. Needless to say, this little revelation colored my perspective for the rest of the night. If by "colored my perspective" I mean "totally fucked me up beyond all repair."

Sometimes, too much to drink is still not enough. I needed therapy to bury my anxiety, and alcohol was going to be my counselor. Yes friends, this was going to be one of "those" nights.

At the first bar I went around quizzing girls about how often this sort of thing happens:

Tucker "Let me ask you a question: Have you ever sucked off one guy, then went on a date with another guy right after? Like that same night? Or fucked another guy right after you blew a different guy, but without telling the second one?"

Girl "EXCUSE ME?"
Tucker "Don't play coy with me."

As you can imagine, this made me very popular with the ladies.

At bar two, I ordered at least three rounds of shots in the first ten minutes. I kept making toasts like this one:

"Roses are red,
Violets are blue,
The bitch gave me head,
And some other guy too."

My toasts to cuckoldry got the attention of a group of girls, and they came over to talk to us. My friends, who had not yet consigned all the women of earth to a fiery death and eternal damnation, made up a story about me to explain my behavior. They told the girls that I had just broken up with my girlfriend who I was in love with and to not pay attention to anything I said. It was my first night out and I was bitter and mean. I helped enforce this lie with the toast I gave to the next round of shots:

"This shot feels so good, this shot feels so right,
I can't believe she fucked me and another guy tonight.
To drown my pain, I bought this alcohol at the store,
Because let's face it: All women are whores."

Greased by the bullshit story that I had been dumped, the girls actually thought that I was funny. One of them tried to console me by switching the subject to music. I told her I was a country music fan, which is not even remotely true.

Girl "Really! I like to make up my own lyrics to country music songs. Like, you know that one song, Let's Get Drunk and Screw? I like to pretend the lyrics are Let's Wait in Line for Shoes."
Tucker [I stare blankly at her for a good ten seconds]
Girl [Still trying to be cheery] "Isn't that funny?"
Tucker You are making me stupider."
Girl "What!?!?"
Tucker [Wait for it...wait for it...] "I bet you've sucked miles of dick."
She immediately turned away and as she walked off stuttered, "You're, you're...a JERK!"
Tucker "Have another shot? DON'T MIND IF I DO!"

That pretty much sealed our fate at bar two. Bar three presented some ample targets, but I was still too head fucked to do anything, so my friends planted me at a table and went looking for girls on their own.

After about three seconds I got bored and started wandering around. I snatched some pink drink off the bar as the girl who owned it looked the other way, took a sip, and immediately spit it out. A girl on the other side of me used this to initiate conversation:

Girl "Gross?"
Tucker "Yeah, it tastes like ass."
Girl "I like ass."
Tucker "What's your name?"

Had it been any other night, I would have turned this little gem into a tongue up my ass crack. Not tonight. Tonight, it was only a matter of time before I fucked it up.

Tucker "But be honest--would you ever eat out one guys ass and then come kiss me the same day?"

And I'm spent.

My friends were doing well with this one group of girls and looked to be on the way to hook-up victory...until I decided that I wanted to hear the sound of breaking glass, and we all got kicked out.

We ended up going to a late night club. When we got there, I was so drunk the bouncer almost didn't let me in. My last clear memory is my friend grabbing me at the bar after I ordered a double something, and trying to calm me down:

Friend "Dude, you've had too much. This is bordering on dangerous."
Tucker "The only dangerous amount is none!"
Friend "How many drinks did you have at the last place?"
Tucker "You're counting MY drinks? If you want to act like my liver accountant then you can pay the bill too."
Friend "I PAY YOUR BAR TABS ANYWAY!"
Tucker "I'M FAMOUS--WOMEN CAN'T DO THIS TO ME!"

They sat me in a corner and went back out on the prowl. One or two more drinks later, I decided that I was going to dance. Completely immersed in my indignant self-pity on the dance floor, I found my savior.

In the corner of the club, dancing alone, I found the person that I could trust. I found my one. My soul mate. The person who would never betray me and who would love me forever and never fuck anyone else behind my back without telling me.

This was the most gorgeous person I had ever seen. Piercing blue eyes and sandy blond hair. Great body. A deep, penetrating stare that belied a wisdom and understanding beyond the average person. Great charisma. And we had immediate chemistry.

I danced with them for an hour, giving them seductive looks, coyly flirting with them, seductively telling them how much I cared about them. And they responded to everything I offered by offering it back. Every smile was met with a smile, every caress with an equal response.

In my eyes, I finally found someone that I was in love with.

I was too drunk to realize this at the time, but my friends were watching me the whole time...and all they saw was me dancing in front of a huge mirror.

With myself.

And no one else within 10 feet of me.

Let me emphasize: I was so drunk, I was dancing WITH MYSELF in the mirror. For AN HOUR. NO ONE was near me.

Not only did I never once realize it, the only thing I remembered the next morning from that club was thinking that I'd fallen in love. For real, it took several of them to convince me that I was dancing alone, and not with the most amazing girl I'd ever met.

My friends also told me that later when the lights came on indicating closing time, I staggered out of the club onto the street, ran away from them, and their last sight was me careening down the street, bouncing off store fronts and parked cars, yelling:

"IF YOU WANT TO GO OUT ON A DATE WITH ME, YOU CANNOT FELLATE ANYONE ELSE FOR AT LEAST TWENTY-FOUR HOURS BEFOREHAND! DO YOU HEAR ME?? AND I WANT YOU TO SHOWER TOO! I HAVE STANDARDS!! BECAUSE I AM NOT A DOUCHE, YOU HAVE TO DOUCHE!!"

Now THAT is Tucker Max Drunk.

But unfortunately, Tucker Max Drunk is not free. At some point the bill comes due. How expensive is it? Let's tally the total:

You know it's been a hard night when you wake up totally dehydrated and still dizzy.

You know it's been a really hard night when you wake up dehydrated, drunk and dizzy and don't know where you are and have no memory of how you got there.

But it is only when waking from a truly Tucker Max Drunk night that you are completely dehydrated, still very drunk, too dizzy to stand, and though you don't know your exact location or how you got there, you do realize that you have just woken up OUTSIDE, in a PUBLIC PARK, with a stray dog LICKING YOUR FACE.

Raise your hand if you've ever had that happen to you.

I clawed my way to a park bench, pulled myself up onto it, and saw a huge Tin Man statue. For a split second, I honestly thought I'd died and hell was sponsored by Warner Brothers. That was a bit of a shock, because I'd always thought Disney would rule hell. Then I remembered: I lived right by a park called Oz Park, though until this moment it had not occurred to me where it got it's name.

Encouraged by the fact that I was close to my apartment, I started walking. After falling a few times and finally getting that damn dog to stop licking my face and following me, I found a street name I recognized, and followed it back to my apartment.

I was so concerned with keeping my balance and navigating correctly, I didn't really notice till I got home that my face and scalp were itching something terrible.

I was reaching up to discover the source of this itch as I stumbled in my door. My roommate took one look at me, audibly gasped and got that "Oh my god" face I've seen so many times. He usually lets out a laugh when he sees the after effects of one of my binges, but this time he was so shocked he could only cover his mouth, point and utter, "Go look in the mirror."

I felt my face, and there was definitely something sticky and hard crusted onto it. Thinking that it was possibly blood and I had sustained a head injury, I rushed to the bathroom, and there in mirror was rock bottom:

The "love of my life" stared back at me with a face covered in hardened, crusted vomit. Yellow and brown bile matted my hair, chunks were in my eyebrows and ears, my cheek and neck even had pieces of grass stuck in the vomit crust. I looked like some sort of botched special effect. So much for being too good for whores' sloppy seconds.

But the piece de resistance lay on the top of my head, at the edge of the crusted vomit, precariously stuck to my hair, still stuck to the vomit:

A small, dry, hardened dog turd.


POST SCRIPT

The repercussions of that night did not end there. First off, my (now ex-) roommate will call me shit-head for the rest of my life, and I deserve it.

Secondly, my friends rode me endlessly about dancing with myself in a mirror. I still don't know if I believe them though, because I could SWEAR it was a girl I was dancing with, and I thought I even kissed her. Oh well, let's hope I don't stare into a reflective body of water anytime soon.

But more importantly, I will never look at women the same way. Ever. This event, combined with a story my friend told me right after that about his ex-girlfriend letting herself get fucked by three Mexicans in front of him to get even for him cheating on her totally ruined me. Now, every time I look at or talk to a woman, I can't help but think to myself, "Has she already sucked a dick today? How recent was her last migrant worker gang-bang?"

Granted, I've done horrible stuff also, but anyone in the world can read this site and know what I've done. It's the not knowing that really messes with me. What fucks me up is to think that first dates or even other girls I'm casually dating are fucking around on me, and not even just on other days, but right before they see me. I don't really go on dates anymore since I learned that you don't need to spend money to get pussy, but when I did, I have to wonder how many girls came out with sperm breath. And how many of those did I kiss? And even now I wonder how many women have I met out at a bar who fucked a guy before going out, and then went home with me?

I talked to all my female friends about this, and the response was varied.

-The dumb ones were like, "Ohhhh--can I come over and suck you off too?" Yes you may. And bring beer.

-The na�ve ones were like, "A girl came over and sucked your dick before a date?? No girl does that!!" Riiiiight...and you've never had a boyfriend cheat on you. Go back to reading books you buy at the grocery store with Fabio on the cover and leave reality to the rest of us.

-I finally got some usable feedback from my smart female friends. Most of them were like, "This is news to you? That there are women who do what you do? Tucker, I thought you were smarter than this." Thanks for making me feel better.

One friend in particular summed it up: "At least you had this realization. Most guys go through life being blissfully ignorant. My girlfriends who juggle a lot of guys are the ones who don't give off any slutty vibe...which is how they totally get away with it. Every guy they are with thinks they've got the perfect situation--a sweet girl who comes over at midnight once or twice a week because that's all she wants. They don't understand that she's got the same perfect arrangement with four other guys."

I futilely tried to maintain that giving me head was so good that women actually wanted to do it and didn't care about getting anything back, but she just laughed. And she's right to laugh.

Not that sucking my dick is some chore--believe me I WISH I could go down on myself--but the idea that any guy is so much better than other guys that he is above the cuckoldry of a woman is ridiculous on face. Believe me guys: No matter how good you are, some girl has played you...and you probably didn't even realize it.

Don't think about this question for too long fellas, or it will drive you nuts. I fixated on it for a whole night and ended up dancing with myself in a mirror for an hour and then woke up in a public park with vomit crusted to my face and dog shit stuck to my head--trust me on this.

And the VERY best part? Karen and I never hooked up again. She ended up seriously dating the guy she met that night.

And he still doesn't know what was on her lips when they met...

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@confessions
23 Jan 2012 3:21PM
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I confess that I remember a time when my younger sister and I were taking a bath many years ago, and I tricked her into fellating me. Of course, I hadn't reached puberty yet so I couldn't cum - however, it felt amazing.

That is all.

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