• Woolnoose 05 Jan 2020
    Mes bourreaux m'ont fait entrer dans la salle traversée d'une grosse poutre. Ils sont nus, juste en collants de laine. Ils m'amènent sous la poutre et l'homme me tend un gros collant en laine beige que je dois enfiler. Il est très grand et sa taille monte jusqu'à ma poitrine. Il me fait mettre un long pull à col roulé tricoté qui descend jusqu'aux genoux. Je sens la chaleur rugueuse de la laine. J'aime cela. L'homme s'éloigne pendant que la femme sort une épaisse cagoule de laine grise. J'ai le temps de voir l'homme lancer un énorme noeud coulant par dessus la poutre. La cagoule est si épaisse qu'elle me tient complètement dans le noir et m'étouffe. Elle descend jusqu'aux épaules.
    On attrape mes mains et je sens qu'on les attache avec une cordelette. Puis on serre une corde autour de mon torse en serrant à grandes secousses.
    Deux mains fermes me tiennent aux épaules tandis que l'on noue autour de mes pieds une autre corde très serrée, puis on attache mes genoux et mes cuisses. Je titube, mais on me maintient. Une main palpe mon entrejambe.
    "il bande déjà ! il n'est pas encore pendu!
    - eh bien, ça promet, il va inonder son collant !"
    Une autre main, plus fine, attrape mon sexe et masturbe lentement pendant que le gros noeud coulant est placé autour de mon cou, je sens l'odeur du chanvre. J'entends le crissement de la corde et soudain je sens qu'elle se serre autour de ma gorge. Le noeud se tend juste derrière mon oreille.
    « Laisse moi le sucer quand il s’étrangle !
    - vas y ma chérie mais il jouira de toute manière comme un bon pendu.
    - je veux avaler la sève d’un pendu ! »
    Soudain, la corde se raidit, mes pieds quittent le sol, le noeud se serre encore, l'air ne passe presque plus. Je me tords, mes jambes ligotées battent dans le vide. Mes mains liées se crispent, cherchent à se libérer. On me retient par les jambes pour ralentir la strangulation.
    Une bouche se glisse sous la laine et je sens sa chaleur humide tandis que mon corps se tord et que ma langue se gonfle.
    "Il bande toujours ?
    - oh la la, oui ! tire le doucement, je ne veux pas qu'il s'évanouisse !
    - ne t'inquiète pas, il faut qu'il s'étrangle le plus longtemps possible !
    - oh ! il vient d'éjaculer
    - Bon, on peut le lâcher"
    Une sensation de plénitude s'installe. Ma langue sort de ma bouche. je bave dans la cagoule. Je ressens un immense orgasme qui semble m'emporter vers l'infini.
    Puis la corde se relâche et on me détache avant de m'enrouler dans une grosse couverture. Je perds conscience.
    Je reviens à moi dans ma couverture. Ils me montrent mon supplice en se caressant. Mon interminable pendaison et mes éjaculations aidées par la pendaison et l'expertise des bourreaux qui m’ont branlé furieusement pendant mon supplice.
    Reply Cancel

    Replies 0

Quote Strike
Public
Private
SUBMIT